Histoires de sexe

Il m’avait pris de puissance entre ses cuisses, j’avais beau me tortiller et résister en bonne allumeuse, il m’entravait ferme et me disait d’un air moqueur « du calme du calme ma petite chiennasse », il me menotta le poignet dans le dos puis plongea une main dans ma petite culotte pour entreprendre une exploration fouillée. Il avait mouillé deux doigts pour titiller ma chatte, je gémissais de plaisir. Son autre main avait retourné ma tête et me tenait fermement par les cheveux : je reçu deux puissants mollards puis un jeu de langue brûlant et particulièrement vicieux s’engagea entre nous. Pendant qu’il me tenait comme un bb sur ses genoux, nous pouvions voir nos ébats dans le grand miroir en face du fauteuil. C’était très excitant et l’idée me vient que, pour un prochain plan, nous pourrions prendre des pics ou faire une vidéo. « Maintenant tu vas avoir un nouveau jouet pour que tu fermes ta petite gueule » me dit-il. Il me mit un bâillon en cuir muni d’un dildo particulièrement réaliste, lisse et délicieux à sentir quand il s’enfonce dans le gosier. « Allez suce, suce bien ma salope ». C’était trop bon, je raffolais … « C’est l’heure de la traite maintenant, t’es ma chèvre de la ferme aussi à l’occasion » il introduisit un glaçon dans ma culotte qu’il fit parcourir le long de ma verge afin de faire affluer le sperme, me branla doucement puis de plus en plus fort, je vibrais dans tous les sens sans pouvoir (forcément) l’exprimer sauf par des « mmh mmh mmh …», mon orgasme fut vertigineux et mon jus inonda ma culotte et mon tee-shirt. Ensuite, il me jeta comme une sur le tapis, rigola, enleva sa ceinture et me corrigea fermement tout en respectant le code « limites » que l’on avait convenu ensemble. Code que je n’eus d’ailleurs pas à « activer » parce que mon maître, par l’expérience de nos plans successifs, savait exactement ce dont sa chienne avait besoin. Il arracha ma culotte et m’enfila un jockstrap, ça l’excitait grave de me baiser ainsi. Il m’a démonté dans toutes les positions, n’hésitant pas à me traîner dans la salle-de-bain pour me grimper sur la machine-à-laver. J’ai reçu deux puissants jets brûlants dans le conduit. Il avait voulu une troisième mais j’étais épuisé, en nage, et ça il l’a compris. Il me délivra des menottes et bâillon, m’offrit un bon verre et me dit : « le bâillon c’est pour contenter mon voisin de pallier, un rebeu aussi, il est venu me trouver comme quoi on n’était pas discret, mais bon moi je kiffe quand tu couines mais faut respecter le voisin ». Je lui ai répondu « bah invites le une fois, on va trouver un arrangement, il est comment ? ». Il a éclaté de rire.