Histoires de sexe

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Avec le voisin – Hassan 3
Histoire gay publiée le 04/10/2021
Mon rebeu Maître Hassan gagnait bien sa vie, ce qui lui permettait de dépenser pas mal de fric dans les fringues BDSM, la lingerie et les sextoys … Ce soir il portait une paire de shaps en cuir sur un jean très moulant, des rangers et un harnais clouté. Il m’avait mis ma nouvelle laisse de chienne (collier cuir avec chaînes), traîné aux wc puis à la cuisine où, à ses pieds, je devais lécher ses pompes et m’enivrer de l’odeur de son cuir (ce que je kiffe grave) pendant qu’il préparait un apéro. Car le rebeu voisin du même pallier allait débarquer … Quand il est arrivé, il ne fut pas surpris du spectacle car H. l’avait mis au courant, ce qui avait fait briller ses yeux d’excitation et d’envie, lui qui se plaignait pourtant du bruit de nos plans ... Nabil était plutôt petit mais musclé, poilu, très brun de peau, un regard pénétrant, vêtus d’un survet et de skets de marque. Installés confortablement dans le salon, moi aux pieds de mon maître, fermement tenu en laisse, ils discutaient en arabe. Je me mis (scénario convenu) à le fixer dans les yeux et à me caresser lentement dans ma petite culotte tout en lui faisant des jeux d’approche avec ma langue. Le résultat fut immédiat : il bandait comme un cerf … Mon maître me traîna à ses pieds : « soulage notre pote, et convenablement sinon gare à toi petite petasse ». Après avoir léché et sniffer le textile du survet, N. exhiba son engin qui était de taille et d’épaisseur plus qu’appréciables. Mon maître me tenait par les cheveux pour que j’engloutisse l’entièreté du membre dans ma gorge, puis il rythma mes mouvements : léchage du gland, galbage des boules, pipe ventouse, suce baveuse … N. râlait et se cabrait de plaisir. Il me montra son cul que je dû lécher avidement sous les encouragements de mon maître : « ouais c’est bien, t’aime faire ça hein, montre que ma petite chienne est bien dressée ». Puis, comme H. n’en pouvait plus, il déboutonna sa braguette et d’un coup fulgurant il m’encula sec. La douleur fit vite place à un plaisir insensé car H. voulait démontrer à N. toute sa virilité et comment on baise bien une ptite lope comme moi. Il me défonça comme un bucheron dans toutes les positions, me faisant japper et couiner comme une femelle en rut. N. se branlait en nous regardant. Il prit ma tête et me gicla en pleine gueule pendant que le nectar de mon maître explosait et se déversait - pareil à un torrent torride - dans mon intimité de chienne soumise. Entravé par les poignets de mon maître, N. entreprit de me caresser les parties (putain il faisait ça trop bien) puis de me branler de puissance. Je me tortillais en gémissant et quand l’orgasme explosa j’étais quasi … en « petite mort » (les lopes connaissent ça, comme certaines femmes). H et N devinrent des amis et, en échange de petits travaux dans l’appart, il fut convenu (avec mon accord bien sûr) que j’étais la « récompense », la suceuse et le matelas de foutre mais toujours en présence de mon maître et pas à la « commande » non plus ;-)