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Plan à trois avec mon Maître Hassan - 4
Histoire gay publiée le 19/10/2021
Comme le rebeu voisin du palier (Nabil) nous avait dépanné d’un problème de plomberie, mon Maître Hassan l’invita le soir à une petite gâterie ou plutôt sauterie. Il cracha dans mon trou et me lubrifia soigneusement avant de brandir devant ma gueule un dildo de 30cm. Pendant qu’il me ramonait vicieusement le fion, Nabil lui s’accroupit devant moi, me prit rudement par les cheveux, souleva ma tête et m’introduisit dans la bouche un autre dildo, délicieux par sa texture. Il fit des allez et venues dans mon gosier tout en me murmurant « allez salope lèche bien, suce, salive, encore encore … ». J’étais gavé par tous les trous et je tétais le dildo biberon comme une jeune chienne affamée. De temps en temps, une gifle me rappelait à l’ordre. Le plan dura une bonne demi-heure. Si j’étais en nage à cause du travail que j’avais enduré, l’excitation était chez moi à son comble. Après une courte pause, Ils me traînèrent ensuite aux chiottes car la limonade avait fait son effet. Là le scénario était clair et je surkiffais d’excitation : en tant que slave, je devais défaire leur braguette, tenir leur bite devant la cuvette puis, une fois soulagés, nettoyer leur gland avec ma langue et remettre convenablement l’engin à sa place. Je bandais tellement que Hassan se mit à rire et, dans le salon, il dit « allez ma bonne petite chienne fais ton numéro devant Nabil et décharge toi ». Je me frottais et me branlais contre sa jambe musclée en poussant de petits gémissements, le tissu denim qu’il portait me donnait l’envie de grimper au plafond. J’ai joui grave, ça coulait partout et comme j’avais souillé son froc et ses skets, j’ai eu droit à lécher ses pompes sous la menace de la cravache, tout ça devant un Nabil qui se branlait et qui me gicla en pleine gueule. Je fus ligoté, bâillonné et jeté sur le matelas de la chambre en attente de ce qui allait se passer … ils restèrent un bon moment à discuter et avaler de la limonade dans le living. Hassan avait proposé à N de partager notre lit pour la nuit et quand ils vinrent se coucher j’ai eu droit à la tournante. Ils m’enfilèrent un jockstrap en cuir avec tirette, ça les excitait (et moi aussi), dans lequel j’allais d’ailleurs juter deux fois durant la nuit. Ils me firent un fouillage de langues baveuses, me gavèrent de mon poppers favori, me caressèrent à mes parties les plus sensibles pour me chauffer comme une brique. Je me tortillais sous leur emprise. Ils me baisèrent hard dans toutes les positions, s’encourageant mutuellement « allez vas-y, elle est à point, chaude comme une baraque à frites notre salope ». Le bâillon céda tellement je couinais. Mes trous en ont pris toute la nuit, le nectar de mes deux mâles se mélangeant délicieusement dans les conduits de leur bb vide-couilles. Je tiens à préciser que H. est mon unique Maître et qu’en aucun cas il ne m’impose quoi que ce soit si je ne suis pas d’accord et toujours cette phrase « tu sens ce que le mâle veut, autre chose que les meufs » et on passe aussi du temps à se faire un bon ptit repas, à se faire un film et à rêver l’un contre l’autre