Histoires de sexe

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Ma vie de vide-couilles 1
Histoire gay publiée le 20/10/2021
Je suis donc devenu officiellement trou à bites pour Medhi et Rachid (son cousin), et on sonne à ma porte de plus en plus souvent pour se soulager chez moi. Mehdi une fois par jour au moins, Rachid moins souvent, mais il me "prête" assez fréquemment, toujours selon le même scénario : yeux bandés ou pénombre, pour faire décharger en mode exprès tous les hétéros en manque de dégorgeoir du quartier. Hier, j'ai reçu à la chaîne une dizaine de mecs qui ont fourré direct leur bite circoncise dans ma bouche et ont joui très vite. C'était une équipe d'un chantier de construction proche. Les mecs sont généralement discrets, mais j'ai aussi un trio de mecs qui aiment le plan jus et viennent toujours en même temps fumer leur clope, se branler sur moi et se finir sur ma bouche gluante; ce que je préfère quand même, c'est les réguliers, surtout un mec qui me parle gentiment et me bouffe le cul avant de me limer en me caressant le dos. Rachid me dit qu'il en profite grave de ma lopitude. Il dit que la clef du succès c'est que les mecs voient bien que je fais ça par goût, que je suis une vraie salope qui vénère la bite, toutes les bites. c'est vrai que le vrai mâle, qui me met à genoux ou à quatre pattes, j'adore. J'ai l'impression que le truc commence à être connu dans le quartier, car parfois à la boulangerie ou dans les commerces du coin, j'entends le vendeur cligner de l’œil en me disant "à très bientôt".