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Maître Hassan pour faire couiner sa lope - 4
Histoire gay publiée le 08/11/2021
Hassan était rentré tard d’une soirée de son boulot et visiblement l’ avait fait son petit effet car ses yeux brillaient étrangement. Ses couilles étaient pleines et sa bite, comprimée dans son jean serrant, le démangeait. A peine la porte franchie, il me plaqua contre le mur et m’embrassa goulûment. « Ouvre ta bouche, salope, mieux que ça » et il me jeta deux mollards puissants. « Il est temps d’arroser ma plante, alors au travail et convenablement sinon gare ». Je me mis à genoux et j’entrepris de faire ce qu’il adorait, que je sois "la reine de ses attributs virils" : renifler et lécher sa braguette comme une chienne, caresser vicieusement ses muscles d’athlète au travers de son jean limé pour que le tissu se tende au max sous l’effet de l’excitation, défaire sa ceinture, déboutonner lentement sa braguette pour y plonger direct ma langue, avaler ses boules et lui faire une fellation en mode ventouse. Il ne portait pas de boxer, signe qu’il avait prévu le plan pour après sa soirée et me rendre la tâche plus facile. Il grognait de plaisir, se cabrait, et m’agrippa par les cheveux pour me défoncer impitoyablement la gorge en cadence hard. Il se dégorgea rapidement, m’inondant le gosier d’un jet brûlant que je déglutis avec délice. Comme il n’était pas rassasié, il me cingla le visage avec sa bite et m’arrosa copieusement d’un deuxième jet crémeux. Ca coulait de partout. Comme mon Maître est généreux et qu’il connait parfaitement les fantasmes de sa chienne, il me mit ma laisse au cou avec chaîne, me positionna à quatre pattes et pareil à un cavalier qui dresse sa jument, il me dirigea vers la salle de bain. De temps en temps, il me claquait le fessier avec sa cravache. Là il y avait un grand radiateur mural et très pratique pour des plans bdsm. Il m’enfourna mon dildo bâillon favori et m’attacha fermement, jambes bien écartées, aux lattes du radiateur. Je portais un large short de sport. Il avait enfilé une paire de gants qui, au toucher, me faisait un effet de ouf ! Ses mains gantées, sensuelles à souhait, se mirent à visiter l’intérieur de mon short. Enivré par un popps puissant, je couinais comme une truie sous mon bâillon. Il arrêta avant que je souille mon short mais c’était pour m’introduire sadiquement un gode dans le fion et me ramoner lentement. Comme ma gaine anale est largement ouverte, il comprit vite que j’en voulais plus et l’instrument s’activa de plus en plus fort … Au point que, sans qu’il me touche, j’ai craché comme un malade dans des soubresauts d’extase. Ca l’avait à nouveau chauffé grave de grave, il me libéra et me sauta en levrette dans la salle-de-bain. « Crie ma chérie, ça m’excite de t’entendre couiner comme une meuf », il se déversa une troisième fois. Trop bon mon Maître rebeu !