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Mon Maître Hassan - 5
Histoire gay publiée le 07/12/2021
Ce soir-là, Hassan portait son harnais qui mettait en évidence ses muscles saillants, était revêtu d’un mini boxer en cuir et il était chaussé de se rangers favoris. Il avait rudement arraché mes fringues et enfilé un jock en cuir à tirette, hyper sexy, qui me serrait la taille au max. Attaché à ma laisse de jeune chienne, cagoulé et mon dildo enfoncé dans la bouche, je salivais grave. Il me promena à quatre pattes dans son appart jusqu’à la salle-de-bain où il me dit d’un air moqueur « j’ai une petite invention qui va te faire du bien, calmer ta chatte de petite chienne en chaleur ». Il me menotta les poignets dans le dos et me culbuta sur le séchoir linge. J’ai reçu un deuxième dildo, assez petit, dans le fion, il me mit en position assise sur la machine et actionna la mise en marche. « Sois sage, pas cracher sinon j’te fais la fête … je reviens dans 10 minutes, le temps de préparer l’apéro ». Les vibrations du séchoir ne tardèrent pas à faire bouger le dildo dans mon trou de salope, c’était un délice/un délire de sensations nouvelles. Trop ingénieux mon Maître pour calmer mes ardeurs … Quand il revint j’avais quand même inondé mon jock, il me délivra, coinça ma tête entre ses cuisses et me fessa impitoyablement. Nous sommes revenus dans le living où la punition allait se poursuivit : « lustres mes pannards, petite petasse ». Pendant que je m’activais, Nabil était arrivé et dit « ah je vois que ça a déjà commencé ». Sans blabla il retira ses skets et me les fit sentir de puissance en me tirant par les cheveux. Pour moi, comme le cuir d’ailleurs, cela me fait un effet de ouf comme le meilleur poppers … Puis vint l’apéro, H m’avait pris sur ses genoux et je sentais son zob en turgescence qui devenait de plus en plus dur entre mes fesses, il me faisait gémir car ses mains me titillaient de temps en temps la chatte … N., il kiffait grave au vu de l’ampleur qu’avait pris son survet de sport. Quand je fus chauffée à point, H. me gifla m’obligeant à répéter « oui je suis une petasse à rebeu, oui je suis une bonne femelle en rut », il me jeta sur le tapis, cracha dans mon trou et me baisa en écartant et en me tenant les cuisses de toutes ses encouragements. Ses boules claquaient entre mes fesses et je couinais comme une meuf pendant que N. prenait des photos comme on le lui avait demandé. Fécondé par mon Maître, c’était du lourd, de l’épais, je reçus en plus une giclée de foutre dans la gueule car N. n’en pouvait plus devant ce spectacle. Il avait voulu prendre la relève de la baise sauvage mais H. lui avait fait comprendre que c’était négatif. Il fut visiblement frustré mais le visage de notre pote s’illumina quand mon Maître lui dit (avec mon consentement, bien sûr on en avait parlé avant) « je te prête ma petasse pour la nuit car j’ai envie de rêver seul ce soir, demain j’ai trop dure journée et me lever à 5h30 ça craint, tu prends soins de ma lope je veux pas qu’elle revienne en morceaux ». A suivre au prochain épisode.