Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Eau Sauvage
Histoire gay publiée le 11/03/2022
Arrivée à Lyon-Part-Dieu. Je m’en souviens comme si c’était hier parce que c’était le lendemain de mes 22 ans. Ma sœur avait réussi à me trouver un stage dans sa boite de Com à Paris. On était arrivé à la gare de Lyon Part Dieu. Nous trainions péniblement nos valises, écrasés par le poids de mon sac à dos, de son bagage à main et de nos Mac dans nos sacs en bandoulière. Je semblais davantage souffrir qu’elle. Je suis d’une nature plutôt frêle, oui j’ai la peau blanche, totalement imberbe, je suis blond les cheveux mi-longs. Nous sortons de la gare côté « Villeurbanne », je marche derrière Clothilde, je la vois faire un mouvement pour vérifier que je suis toujours derrière elle et soudain son sac en bandoulière glisse de son épaule emportant son bagage. Je panique, j’essaye de marcher plus vite pour lui venir en aide et j’aperçois un bras puissant et bronzé se saisir de son sac. Aussitôt, j’ai un peu honte de l’avouer, mais je pense qu’on est en train de le lui voler. Avec son jogging Nike, ses baskets assortis et sa carrure d’un mètre quatre-vingt-dix, sa mâchoire carrée et ses yeux noirs et brillants. Mais il lui vient en aide, il est plus rapide et surtout plus efficace que moi. Dans le brouhaha de l’entrée de la gare qui est très animé à 14h00 j’entends ma sœur lui dire que nous allons à l’hôtel Mercure qui est juste à côté. Elle attrape mon bras et me présente comme étant simplement son « stagiaire » et taisant notre lien de parenté. Celui qui se présente comme étant Karim la regarde déjà comme un prédateur sexuel observe sa proie, je reconnais volontiers que je ressentis alors une pointe de jalousie. Il appelle un mec qui était caché par un des piliers, « frère ! », Naïm sort de l’ombre, un peu plus petit que Karim, la peau aussi sombre mais des yeux clairs incroyables, le visage plus fin, moins carré que son pote. Mon pantalon slim commence à être un peu trop slim. Naïm prend alors en charge mon sac à dos et mon sac en bandoulière comme s’ils ne pesaient rien. Et nous prenons le chemin de l’hôtel. Ma sœur est encore devant moi, elle explique comme nous sommes ici pour une semaine et demie pour le boulot. Je suis tisé par le cul de Karim qui marche à côté d’elle d’une façon si assurée et viril. Soudain Naïm parle en arabe à Karim qui tourne son visage sur moi et me regarde avec mépris, je suis honteux, je baisse les yeux. Karim lui répond en riant et son « frère » me donne alors un petit coup avec son bras, je trébuche ridiculement et je m’en excuse. J’ai d’autant plus honte qu’ils ne peuvent se douter que ma sœur comprend tout ce qu’ils disent car elle parle leur langue mais elle ne dit rien, à partir de ce moment elle ne me regarde plus dans les yeux. A la réception on nous donne nos cartes pour nos chambres, elle a la 611 et moi la 624. Je m’apprête à récupérer mes affaires que Naïm a déjà posé devant moi, mais Karim propose à ma sœur de nous aider jusqu’à nos chambres. Son pote est surpris il lui dit « Tu m’fais quoi frère ? » et en me regardant avec insistance. Il lui répond à nouveau dans cette langue que je ne connais pas et nous voilà au sixième étage. Ma sœur et Karim rentre rapidement dans sa chambre qui se trouve en face de l'ascenseur. Moi à peine la porte ouverte je remercie Naïm mais il rentre avec moi en me disant qu’il ne veut pas attendre seul dehors parce que ça « peut prendre du temps ». Il s’allonge directement sur le lit et sort son téléphone, je suis surpris et un peu choqué par son sans gêne. Je m’assois en face du lit ne sachant pas quoi faire. Un certain malaise s’installe. Au bout de quelques minutes je décide de me lever et de sortir mes affaires de mon sac à dos. J’ouvre mes trousses de toilette dans la salle de bain. J’emporte presque toutes mes affaires parce que j’ai une peau sensible et fragile. Je sursaute quand j’aperçois le reflet de Naïm dans le miroir de la salle de bain. Il me montre l’écran de son vieil iphone avec un sourire. Je vois ma sœur nue dans la salle de bain, mais ce qui m’excite c’est le reflet du corps nu de Karim sur la vitre de la douche. La vidéo ne dure que quelques secondes et mon visiteur écarquille les yeux devant mes cinq bouteilles de parfum que j’ai emmenés avec moi. Il fouille mes affaires, j’essaie de l’en empêcher mais il brandit victorieux un plug. Pour dire vrai il est dans cette trousse depuis presque 6 mois et mes vacances aux Grandes Canaries. « Mais t’es un PD en fait ?! » J’essaie de nier, mais de sa main il marque le relief de sa queue à travers son jogging « Ca te plait ça ? Tu aimes les zob toi ! p’tite petasse », ce dernier mot résonne comme une menace. Il ouvre whatapp et il enregistre un message vocal en arabe, je vois qu’il essaye aussi de prendre une photo de moi mais je quitte la salle de bain. Il me rattrape par le bras au milieu de la chambre et je me retrouve à genou. D’une main il abaisse son pantalon de jogging blanc et, j’allais dire sa bite, mais en réalité je n’ai jamais vu un pénis si gros en vrai devant moi. Il le frotte contre visage, il sent un peu fort mais il est doux. En relevant les yeux je vois qu’il me filme. Il est hilare. « Suce maintenant ». Il ne rit plus et il a rangé son téléphone. Je me sens en danger et pourtant mon sexe est dur. Pendant que je m’active à le sucer je l’entends recevoir des notifications. Je sais qu’il échange avec Karim mais je fais de mon mieux en bonne suceuse pour lui faire du bien sans le déranger. Comme je vois qu’il est plus intéressé par son téléphone je ralentis la cadence et je boude un peu. C’est à ce moment-là que je reçois ma première baffe. Elle résonne dans ma tête, je suis stupéfait c’est la première fois que l’on me frappe. Mes cheveux couvre mon visage, il me crache dessus et les étale en arrière. « Qu’est-ce tu m’fais là ? Continue de sucer ! » Là, c’est précisément à cet instant que je suis devenu sa petasse. Sans réfléchir je me suis jeté sur sa queue, alternant succion et jeux de langue sur sa verge. J’entends que ça lui plait, il râle de plaisir, il pousse des petits « Oh oui putain ». Instinctivement, parce que je sais déjà ce qu’il va se passer, je retire ma ceinture qui a une boucle en forme de H, il l’attrape au vol et me demande si c’est une vraie. Je souris parce qu’évidemment que c’est une vraie. La deuxième baffe tombe, il prend la ceinture et me la passe autour du cou. J’obéis à ses instructions, je suis à genoux sur le lit, il étale sur sa queue le lubrifiant qui se trouvait avec les préservatifs dans la trousse de toilette et que j’ai jeté sur le lit pendant qu’il se déshabillait. Son corps a quelques cicatrices, mais il m’apparait comme divin avec ses muscles saillants. C’est littéralement le plus bel homme que j’ai jamais vu. Il me demande alors de me « préparer », s’il veut bien mettre sa bite en moi, c’est moi qui dois me lubrifier. Il a bien essayé au début d’y aller doucement, surtout pour qu’il n’ait pas mal. Mais il s’énerve et prend appui sur mes épaules. La douleur est inimaginable. « Ta gueule sale petasse, cambre ton cul. » Je suis empalé par une barre brulante. Il pose son portable sur mon dos et j’entends qu’il repasse en boucle une vidéo de quelques secondes. J’en déduis que c’est ce qu’il se passe de l’autre côté du couloir. Je suis à nouveau vexé parce je pense qu’il a besoin de voir ça pour être excité. Alors, je ne sais pas pourquoi mais je décide de prendre appui sur le lit et de reculer vers son torse pour que sa bite aille plus profond en moi. A mon grand plaisir cela le surprend. Il jette le portable au milieu du lit, l’image en pause dévoile en plein écran un énorme gland. Je reçois une fessée monumentale, il me redresse et me glisse à l’oreille « T’es qu’une grosse petasse tu vas dérouiller ». Il attrape la ceinture qu’il tient comme une laisse, je sens le cuir serrer ma gorge. Je ne sais pas combien de temps il m’a limé, je sentais mes jambes vaciller, je ne bandais pas, mon sexe flasque ballotait en tous sens, nous transpirions tous les deux, mes cheveux blonds collaient à mon visage, lui sentait le fauve. Et je n’ai même pas entendu lorsqu’on a frappé à la porte. Sans pudeur, Naïm s’est retiré de moi, je me suis affalé sur le lit, j’en ai profité pour retirer la ceinture de mon cou. Et Karim est entré, visiblement énervé. Tout se passe comme dans un rêve, mes oreilles bourdonnent. Ils se parlent moitié en arabe moitié en français. Karim lui demande ce qu’il fait à poil avec moi. Naïm reprend sa place, tapote sa bite contre mon cul, je me redresse comme une bonne chienne obéissante face à son « dresseur », son « frère » me regarde avec mépris. Je sens le gland qui se fraie à nouveau le chemin dans mes entrailles, je souffre, je grimace. La main de Karim se pose sur ma gorge, il observe la marque rouge laissé par la ceinture, il plisse les yeux. Il voit à qui il a affaire. J’ai la bouche grande ouverte, il crache un mollard épais que je m’empresse d’avaler avant d’ouvrir la bouche encore, et il recommence et je recommence. « Regarde-moi cette petasse là ! Tu crois quoi ? Que je vais te baiser, mais je baise pas les PD moi ! » Je suis un peu déçu mais Naïm se marre derrière moi et m’envoie encore une fessée. Pris d’une assurance assez inhabituelle chez moi, je passe mes mains de chaque côté des hanches de Karim et je l’approche de mon visage pour frotter ma bouche contre son sexe au travers du tissu. Je suis conscient de prendre un risque énorme, mais je veux le goûter, pour cela je suis prêt à tout. Il me laisse faire pendant que Naïm lui demande de lui raconter pourquoi il est revenu si tôt. Je n’écoute qu’à moitié. Délicatement je délivre le sexe de Karim de son bas de jogging et de son boxer humide, je ne sais pas si c’est son état au repos ou mi-molle tellement il me parait épais. De temps en temps il baisse les yeux vers moi et me demande « Qu’est-ce que tu crois faire comme ça ? » Mais jamais il ne s’éloigne ou retire ma main qui s’est posée sous ses boules. Il commence alors son récit à Naïm, je mets sa bite molle dans ma bouche et je me rends compte que je bande. A mesure des détails qu’il donne à son « Frère », sa bite durcit et va plus loin dans ma bouche. Et puis soudain il mime la pénétration dans ma sœur et son énorme queue vient buter le fond de ma gorge. Je fais un grand mouvement de recul mais Karim attrape ma tête et recommence. Il me bloque. Naïm me pénètre encore plus profondément pour me pousser contre la verge. Je s'essoufle. Je sens mes pulsations ines dans ma tête. J’essaye de me débattre attendant que Naïm intervienne, mais je suis fou de penser ça. Avec mes jambes, avec mes mains, avec des contractions de mon corps je veux leur échapper mais cela les réjouit et renferme leur emprise physique sur moi. Je suis une loque et je crois entendre Karim dire « Viens on change ». Ils me libèrent, je goûte à nouveau l’air en prenant de grandes inspirations. Là j’ai compris ce que c’était d’avoir le cul ouvert. Je suce Naïm qui me demande si le goût de mon cul me plait. Et je me fais enculer rudement parfois je ne sens plus rien tellement j’ai mal. Les poils de Naïm me caressent le nez, je lui lèche les bouches et je vois à ses yeux que ça ne l’embête pas lui de baiser un PD. Je sens son foutre envahir ma bouche, de grands jets chauds et crémeux accompagnés d’un râle viril. Je n’ai qu’une crainte que Karim s’arrête alors je me mets à plat ventre, je me cambre au maximum, je lui montre ma souplesse. Mes années de danse classique font leur preuve. Ca le rend dingue, il attrape mes cheveux mi-longs et me bourrine le cul, sa main ferme et puissante claque et martyrise mes fesses. Naïm me filme, il prend des photos de sa bite qui repose mollement sur presque l’intégralité de mon visage. Et soudain j’ai le cul rempli de foutre, j’ai ce bras puissant que j’avais observé à la sortie de la gare et qui soutien mon torse, il me soulève presque pendant son orgasme, il peut me porter avec uniquement ce bras. Il reprend son souffle en collant sa bouche contre mon oreille, pendant un instant je pense qu’il s’agit de tendresse, mais il reprend vite ses esprits et me rejette sur le lit en me disant « Dégage de là ! » Je ne sais pas quoi faire parce que j’attends qu’on me le dise. Karim frotte son sexe sur la couette du lit. Je m’aperçois qu’aucun préservatif n’a servi. Du liquide chaud coule sur mes cuisses. Ça ne sent pas très bon, j’ai des gaz et qui libèrent encore plus de ce liquide. Ultime humiliation. J’ai envie qu’ils partent, mais je me sens déjà si vide depuis qu’ils ont quitté mon corps. Naïm prend mon iphone, je sais qu’il ne va pas partir avec. Il le tend vers moi, celui-ci se déverrouille et il s’envoie un sms pour avoir mon numéro, il fouille dans ma messagerie et mes réseaux sociaux, dans la galerie aussi. Ils discutent, se roulent des cigarettes comme si je n’étais pas là. Naïm me regarde du coin de l’œil parce que je renifle une de ses Nike que j'ai ramassé au pied du lit qui sent si fort et si bon, si j’en avais la puissance je me branlerai. Ils rangent leurs affaires, terminent de s’habiller. Karim ne me regarde même pas, il a de la rancune contre ma sœur et c’est bien elle qu’il a baisé à travers moi. Naïm lui me regarde avec un air satisfait et approuve d’un mouvement de tête lorsque mon corps se trouve affalé, la peau blanche couverte de marque de mains et légèrement rougis au niveau des joues, en revanche j’ai le cul baiseet et j’ai l’impression qu’il vibre encore de la résonnance des claques. Ils passent tous les deux devant moi, Naïm a pris un de mes parfums dans la salle de bain, Eau Sauvage, celui lui va si bien. Il passe la porte, je m’attends qu’il m’envoie un baiser, mais rien, il prend une dernière photo. Bien sûr qu’il va revenir. Il faisait déjà nuit. De la fenêtre de ma chambre j’avais passé un moment a essayé de scruter l’entrée de la gare à leur recherche mais sans succès. Soudain l’écran de mon iphone, s’illumine dans l’obscurité. La photo de mon visage sous la bite de Naïm et une adresse. Un second message, la capture d’écran de mon compte Internet et qui sonne comme une menace. Je m’habille rapidement, je prends le gel, je n’aurais besoin de rien d’autre.