Histoires de sexe

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Le blédar Algérien
Histoire gay publiée le 17/03/2022
Voici ma première histoire. Ça fait un moment que j'hésite à vous raconter mes aventures sans jamais me décider, mais ce qui m'est arrivé aujourd'hui c'est trop chaud pour le garder uniquement pour moi. Cela dit, cette histoire est 100% réelle. Commençons par me présenter : moi, c'est Dylan, je suis près de la quarantaine, pas du tout sportif et avec quelques kilos en trop, mais on ne dirait pas non plus que je suis gros. Suis un mec normal, pas du tout efféminé mais bien passif et très, très salope et soumis quand j'ai devant moi une bite bien raide. Mon kiffe c'est les rebeus, l'idée de me faire défoncer par un mec macho et très viril qui m'appelle de petasse et de salope pendant qu'il se vide, c'est vraiment le top. Et encore mieux si c'est un rebeu hétéro. Cependant, je ne suis pas exclusif, donc il n'y a pas uniquement les rebeus qui profitent de ma bouche et de mon trou. Revenons à l'histoire, alors. Je sortais de chez un Marocain (c'est une autre histoire que je vous raconterai plus tard) et, même s'il m'avait bien défoncé, j'avais toujours faim. Il était vers 19h et je marchais vers ma voiture quand j'aperçois 3 beaux mecs, tous rebeus, qui marchaient devant moi, pas trop loin. J'accélère, alors, et je passe devant eux, en faisant attention à bien dandiner mes fesses à chaque pas pour les chauffer et leur montrer clairement mes préférences. Et ça a bien marché : même s'ils parlaient en arabe, ils ont changé de ton et ils ont commencé à rigoler entre eux. On a continué quelques mètres mais malheureusement ils ont tourné à droite dans le premier coin, tant que moi, j'ai continué tout droit et traversé la rue. Je me retourne, alors, et je vois que deux d'entre eux me regardent, toujours en marchant, mais ils continuent leur chemin comme si rien ne s'était passé. Je décide de jouer encore plus, et je reprends la même direction, mais ils ne se retournent plus. Au prochain coin, surprise! Ils traversent la rue et me croisent. On se regarde tous et on continue encore une fois dans des directions différentes, mais je décide de m'arrêter pas loin et de les fixer. Ils me regardent, s'arrêtent aussi, et un de 3 vient me voir. Après m'avoir salué, il me demande ce que je cherche. Je lui dis que je cherche un bogoss comme lui. Il me demande si je veux du sexe, et évidemment j'affirme. Il me sort direct une question: si je suce bien. C'est bon, il a tout compris. Je lui dis que je suce très bien, et il me demande si je veux leur sucer à 2. Je lui dis que même à 3, et il m'amène chez les autres, qui attendaient de l'autre côté de la rue. Il leur explique, entre français et arabe, que je suis un suceur, et ils me demandent si j'ai une maison ou un endroit où aller. C'est mort, je ne reçois pas et eux non plus. Ils habitent les 3 ensemble, et un des mecs est marié avec 2 progénitures. On discute un moment, on parle direct, celui qui est marié me dit qu'il va m'enfoncer sa bite jusqu'à mon estomac. On décide de chercher un endroit, et je leur propose de trouver des toilettes publiques. On commence à marcher mais on ne trouve rien. Le plus beau d'entre eux était grave chaud, c'était lui, au fait, qui a fini pour convaincre les autres de continuer à chercher. Soudainement il s'éloigne du groupe et me dis de venir avec lui. On cherche partout mais on ne trouve rien. Je lui propose de venir avec moi dans ma voiture, chercher une rue calme et sombre pas loin et lui sucer tranquillement. Il me demande si je veux lui sucer, uniquement à lui, sans les autres. Je lui réponds que oui, donc il accepte de venir avec moi. On marche quelques minutes, on arrive à la voiture et on se met en route. Il est Algérien, très bogoss, et ça ne fait que 20 jours qu'il est arrivé en France. Il a les couilles pleines et a besoin de se vider. Pas loin on arrive vers une rue barrée, assez sombre et vide. Je me gare, il baisse un peu son survêt et sort sa bite, toujours molle. Elle n'a pas l'air d'être très grande, mais je la prends en bouche direct. Il soupira à chaque mouvement de langue pendant que sa queue prenait du volume. Il m'enfonce son gland bien au fond de ma gorge, et d'un moment à l'autre, commence à me défoncer la bouche avec toute la puissance qui le permet le fait d'être toujours dans la voiture. Finalement, sa bite est assez longue, bien épaisse et surtout très, très dure. Il ne parle pas, il me serre la tête entre ses mains et continue à me baiser. Des fois il me malaxe aussi les fesses avec sa main gauche, toujours en appuyant sur ma tête avec la droite pour inviter sa bite encore plus loin dans ma bouche. On continue comme ça pendant quelques minutes, jusqu'au moment où il râle et me donne toute sa semence. Au point où sa bite était dans ma gorge, je n'ai même pas pu goûter son jus, ça a passé direct. Je voulais continuer à le sucer encore un peu, mais il m'a dit d'un ton assez autoritaire que c'était bon. Je me suis redressé, il a rangé sa bite dans son survêt, j'ai démarré la voiture, roulé jusqu'à la station de métro la plus proche, il m'a remercié, m'a dit "A la prochaine" et est parti. Je suis rentré chez moi et je me suis branlé 2 fois en pensant à lui. Dites-moi ce que vous pensez, et si vous voulez que je vous raconte l'histoire du beau Marocain et encore des autres. Bisous !