Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Au fond du garage
Histoire gay publiée le 29/03/2022
Comme chaque année, je vais faire faire la révision de ma voiture. J’ai trouvé il y a quelques années un garage pas très loin de chez moi et le chef, M. S., m’a tout de suite inspiré confiance. Il fait bien son boulot, il n’est pas très cher et il n’essaie pas d’entourlouper le client. J’arrive l’autre jour au garage et je suis accueilli par un rebeu super mignon. Il a environ 22 ans. Il est de taille moyenne. Il a les cheveux courts sur le dessus, rasés sur les côtés et une barbe mal entretenue, très fournie seulement au niveau du menton. Il porte des chaines en argent autour du cou. Il se présente : Youness. C’est un nouvel employé dans le garage. M. S. arrive aussi, me salue. Il me dit que Youness s’occupera de ma voiture aujourd’hui. - Vous pouvez avoir toute confiance en lui. Mais par contre, on a tellement de travail, on doit garder la voiture toute la journée. Vous avez besoin d’une voiture de remplacement ? - Non, c’est bon, ça ira. Mais je ne pourrais venir que demain soir vers 19h. - A 19h, M. R. ! Pas plus tard ! Nous fermons à 19h ! - Pas de problème. Je fais le tour de la voiture avec Youness, il note les rayures puis il me fait signer un papier. J’écoute à peine ce qu’il dit. Je ne cesse de le dévisager. Le mec est tout simplement trop beau, je ne peux en détacher le regard. Une fois finie, je donne mes clés de voiture et après une poignée de main bien virile, je quitte le garage. Le lendemain, il se trouve que je loupe mon bus. Avec le suivant, j’espère arriver à l’heure. Miass c’est sans compter les embouteillages. J’arrive finalement avec 15 minutes de retard ... et je m’attends à voir le garage fermé. Mais je vois Youness qui m’attend devant. - Je suis vraiment désolé ! J’ai loupé mon bus, je... - Pas grave. M. S. est parti. Mais il m’a dit de vous faire une fleur et de vous attendre. Il est gentil, M. S. - Vous pourrez le remercier de ma part ... et merci à vous aussi ! - Allez, pas de temps à perdre. Il m’explique ce qu’il a fait. Pendant de longues minutes, je le dévore du regard. Puis je paie. Je lui sers la main, il m’accompagne à la porte... et c’est là que tout dérape. Avant de l’ouvrir, il me met la main au cul. - Je te plais, pas vrai ? Tu crois que j’ai pas remarqué ton manège ? T’arrête pas de me mater depuis hier ! Je me retourne, choqué. J’essaie de balbutier quelque chose, qu’il se trompe, qu’il se fait des films, que ça devient indécent. Mais il continue de me caresser les fesses. Je suis alors charmé par ses yeux noisette et son visage d’ange. Je ne sais pas ce qui me prend... mais je pose alors ma main sur son paquet. Et à travers son pantalon, je sens une barre bien dure entre mes doigts. Je crois deviner qu’il a un gros morceau. D’un coup, il se précipite sur moi et m’embrasse. Il me roule une grosse pelle. Ensuite, il me plaque contre le mur et il me touche tout le corps. Il ouvre alors son bleu de travail... il est complétement nu dessous. Je peux admirer ce beau mec. Il a un corps plutôt normal, ni gros, ni maigre, avec un petit début de ventre. Il a un pubis très fourni de poils noirs et frisés qui descendent presque sur ses couilles. Il a des bras et des jambes assez poilues. Il a aussi plusieurs tatouages sur les bras. Il a quelques poils au milieu du torse et une ligne entre le nombril et le pubis ainsi qu’une grosse touffe sous les aisselles. Ma main est toujours posée sur son paquet. J’ouvre son vêtement et sa grosse queue se libère. Je remarque alors d’énormes couilles rasées, pendantes, bien marron. Sa queue est longue et assez épaisse (20 cm par 6) et elle est d’une couleur entre le noir et le gris. Son cul est ferme et bien dessiné. Je m’agenouille devant lui et je me mets à le sucer. Il se laisse faire. Il sort une cigarette et se met à fumer tout en fermant les yeux pour apprécier mon traitement. Puis je passe à ses grosses couilles que je lèche avidement. Puis ma langue passe sur sa queue et je la reprends en bouche. Je titille le bout de son gland avec ma langue. D’une main, il se caresse un téton. Puis il la pose sur ma tête et il commence à m’imposer son rythme. Il me baise la bouche, il me fait faire des gorges profondes. Puis, une fois sa cigarette finie, il me relève et m’embrasse de nouveau. Il se déshabille, il se retrouve complétement nu devant moi et il me demande de faire de même. Je m’exécute. Il ouvre la portière de ma voiture, s’assoit sur la banquette arrière et il attend, la queue à l’air. Je me précipite dessus et me met à la sucer. Je fais des gorges profondes. Au bout de quelques minutes, il me relève et me positionne contre la voiture. Je tends bien le cul et il se met à me doigter. Il prend une bonne dose de salive et m’en badigeonne le trou. Puis il enfonce son gland dans mon anus, sans capote. Je me crispe car je sens sa queue descendre en moi et bien m’ouvrir sur son passage. Je sens que je mouille bien car il me pénètre sans problème. Je sens son pubis me chatouiller le cul et ses couilles pendantes me caresser le périnée. Il commence à bouger et il prend un rythme de baise lent et régulier. Moi, je suis couché sur le capot de la voiture et lui a ses mains de part et d’autre de mon corps. Son pubis touche contre mes fesses qui vacillent sous les coups. Puis il se pose sur la banquette de la portière ouverte et je m’assois sur sa queue, lui tournant le dos. Je le chevauche. Je suis accroupi et je m’aide de l’habitacle de la voiture pour monter et descendre sur sa queue. Je sens bien son gland me trifouiller les entrailles. Puis il me fait mettre sur le dos sur une table, débarrassant d’un geste de la main tout ce qui s’y trouve. Il m’enfonce sa queue et reprend sa baise, cette fois plus rapide. J’admire son petit ventre vaciller sous ses coups de reins quand il me touche le périnée. Ses couilles se balancent sous moi et claquent contre mon cul et ma raie. Il fait bien sortir sa bite de mon anus et il donne des fois de grands coups de rein qui me font bien gémir. Puis il ralentit le rythme, sort sa queue complétement de mon trou et l’y renfonce sans se servir de ses mains, qui me maintiennent les jambes bien en l’air. Il me défonce alors sur tout le long de sa queue, plus lentement, savourant de la faire coulisser sur tout le long sans capote. Puis il reprend un rythme de baise soutenu et bientôt j’entends sa respiration s’accélérer. Il enfonce sa queue bien au fond de mes entrailles, la faisant à peine sortir de moi pour profiter à fond de mes sphincters. Ses couilles claquent avec toujours plus de rudesse. Dans un dernier mouvement de rein, il m’injecte son jus au fond de mes entrailles. Je sens bien ses couilles plaquées contre ma raie me pomper tout son sperme en moi. Sa queue me lâche 5 gros jets dans mes intestins. Il se relève, fait sortir sa queue et là, un flot de jus bien liquide s’échappe de mon trou et va s’écraser par terre. Il joue à l’aide de son gland avec le sperme qui s’écoule. Puis il renfonce sa bite, pour la ressortir aussitôt, laissant échapper encore plus de sperme. Il répète ce jeu plusieurs fois, tassant bien le sperme. Il reprend des mouvements de va-et-vient. Ensuite, il se retire lentement et une nouvelle vague de jus tombe par terre. Je me branle, il se met à côté de moi et me caresse mon corps et mes couilles. Je jouis en un temps record de longues rasades de sperme sur mon ventre. Il m’embrasse et m’emmène sous la douche, au fond du garage. On se douche, il me lave même le corps et on se quitte en s’embrassant.