Histoires de sexe

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Je suis une lope
Histoire gay publiée le 27/05/2022
Mardi soir, 20h30. Mes voisins sont en train de manger ou peut-être en train de s’abrutir devant la télé. Ça m’excite de les imaginer dans leurs vies un peu minables et pépères, alors que je suis installé à quatre pattes dans ma chambre, tête baissée, cul relevé donnant sur la porte ouverte. Un gros gode réaliste de 22cm me rempli, du lubrifiant bave de ma rondelle dilatée. Ils n’ont aucune idée que la porte de mon appartement n’est pas verrouillée et qu’un mec rencontré le soir même sur Internet est en route pour venir me défoncer. Ça m’excite de penser à ça. Je mesure alors à quelle point je suis une lope. Pour moi, attendre mon baiseur dans une position de chienne et presque aussi bon que de me faire remplir le trou. Cela dit, j’aime trop la bite et la seule excitation mentale ne suffit pas. Je suis impatient que “karimXXL” arrive! Par le passé, je n’ai pas eu que de bonnes surprises avec ces plans directs. Des mecs pas aussi bien membrés, pas aussi chauds et pas aussi dominants qu’annoncés s’étaient présentés. Bien sûr, je les avaient laissés me baiser et j’avais joué mon rôle de chienne pour les exciter! Simplement, pour moi, ce n’était pas assez et en partant, ils me laissaient sur ma faim, même avec le cul plein. J’espère donc que celui-ci est aussi chaud, dominateur et bien membré que ce qu’il laisse entendre! Ma position de chienne, je l’ai prise il y a 25 ou 30 minutes. Je passe le temps à anticiper avec délice, à regarder des vidéos de cul bien hardcore, à relire mes échanges salaces avec “karimXXL”, à me branler en matant ses photos supposées réelles et à sniffer du poppers. Tout à coup, j’entends le rude de la poignée de porte. Je me regarde dans le grand miroir sur ma droite et me repositionne en faisant attention à bien cambrer les reins, histoire d’offrir à mon visiteur un cul bien attrayant. Comme à chaque fois, je fais attention à ne pas croiser le regard de mon invité. Je veux qu’il me découvre totalement offert, soumis. “Ah putain, tu mentais pas toi! T’es une vraie salope de chienne!” lance mon rebeu. “Ouais, t’as pas idée!” lui réponds-je. Je l’entends s’approcher et, soudain, le gode dans mon cul est retiré, d’un coup sec. Mon trou doit être béant et j’espère que ça l’excite! Voilà que mon baiseur renfonce le gros gode et débute un va-et-vient sans retenue. Il retire tout. Il renfonce tout. Chaque centimètre. Avec vigueur. Je pense qu’il n’a pas menti quand il disait aimer les plans où “ça claque”, selon son expression. Il continue à me limer le fion avec le gros jouet en me traitant régulièrement de sale lope, de petasse, de chienne, de bon trou. Ça m’excite à fond! Ça voix est basse, assurée, avec un accent banlieusard qui me fait vibrer les entrailles. Le voilà qui enfonce le gode encore une fois, bien profondément, puis il arrête ses mouvements. “Tourne-toi grosse salope!”, me lance-t-il. Je m’exécute avec ferveur et je découvre alors un spectacle sublime! Il n’avait menti sur rien. Il doit bien faire 1m85, sec, mais très athlétique. Il dit avoir 23 ans, ça semble concorder, mais le plus important n’est pas là. Non, le plus important pour un gourmand amoureux de bite comme moi, c’est sa teub. Elle est immense! Elle est mi-molle, l’état le plus excitant pour moi, visuellement, bien entendu. Elle doit mesurer au moins 18 centimètres, pour 5 à 6 de diamètre… et elle n’est pas encore turgescente! Le gland, massif, est encore caché par un bel amas de peau. Seul un petit bout pointe hors de sa calotte. La teub se balance et exhale un envoûtant parfum de sexe salé, une odeur irrésistible pour n’importe quelle lope. Je remarque à présent ses couilles. Lourdes, pendantes, pleines. Ce sont bien des burnes d’alpha, aucun doute. Je bande à les imaginer se vider dans mon boule. “Allez, viens téter un peu! T’as faim, hein, espèce de chienne? Faut la faire grossir si tu la veux dans ton trou… c’est pas comme si t’étais serrée du cul… salope!”, me dit-il en se marrant. Il a bien compris qu’il faut me traiter comme une lope, me lancer des insultes aux visages pour me motiver à devenir une vraie truie. C’est gagnant-gagnant. Lui obtient un fion qui se laissera fracasser avec gourmandise et moi je rentre dans une transe où tous les sens sont décuplés. J’engloutis son gland et commence mon travail. Je le biberonne. Ma langue passe sous la peau de sa calotte et je me délecte du goût de cette teub. Elle n’est pas sale, heureusement d’ailleurs, je déteste ça, même si, en bonne petasse, je ne fais mine de rien quand c’est le cas. Non, ici, son gland a le bon goût de bite, aromatique, salé, un concentré de masculinité qui me fait bander dur. Puis ma bouche avance et je commence à pomper plus fort. Je sens sa trique grossir dans ma bouche. Je dois lui faire un bon effet. Je le cherche du regard depuis un moment, mais il a les yeux clos. Enfin, il les ouvre et nos regards se croisent et se figent. Quel plaisir, avoir cette large teub dans la gueule en étant agenouillé et se faire mater par son beau et chaud propriétaire! Là, je me sens bien petasse et c’est bon! Il a un petit sourire en coin. J’imagine que de son côté, ça doit aussi être bon de voir sa queue au fond de la gueule d’une chienne lubrique “Allez, bouffe-la! T’es bonne petite suceuse! T’aimes avoir une grosse bite dans la gueule, hein? Salope!” me dit-il d’une seule tirade en ponctuant le tout de 2 gifles légères. Elles n’ont pas pour but de me faire mal, mais de montrer sans équivoque qu’il y a un dominant et un dominé. Je suis sa chose et il m’utilise. Moi j’obéis et je suis utilisé. Comme c’est bon. Sa tige est impressionnante. Elle n’est pas encore totalement durcie, mais elle doit faire au moins 23cm à ce stade. J’ai pris l’habitude de me donner une idée de la taille du zgeg en le mesurant à l’aide de mon coude. Je positionne la teub contre mon avant bras, le coude plié appuyé contre le départ de la verge et, tout en engouffrant la sexe m, j’arrive à me donner à 1-2 cm près une idée précise de la taille du mandrin. Là, c’est une excitation purement mentale. Plus elle est longue ou épaisse, plus l’envie de se faire ramoner l’anus grandit. Bon, la taille c’est important, mais ce n’est pas tout. J’en ai eu des TBM baisant comme des nuls, un vrai gâchis. Tout comme j’ai eu des baiseurs moyennement membrés m’ayant pilonné merveilleusement. Ceci dit, le mieux, c’est quand même une immense teub couplée à un un excellent baiseur. J’ai la conviction que ce “karimXXL” en fait partie. “Je vais de te péter le cul maintenant, tourne-toi!” m’ordonne-t-il. Je m’exécute en un clin d’œil. À peine retourné, il retire le gode et le jette à terre, sans précaution. Wahou, il doit vraiment avoir envie de m’enfiler là! “J’ai des capotes sur la petite table, ici.” lui dis-je, en pensant qu’il voudrait se protéger. “Non, toi je te baise au jus!” me répond-t-il, sans s’inquiéter de ce que moi j’aurais pu vouloir. Un vrai alpha directif. Il pense à lui et il m’utilise. Comme j’aime ça! L’instant d’après, je sens la large teub s’enfoncer d’un coup en moi. Oh putain elle est longue! Bam! Il pilonne directement et fort. Très fort. J’entends et je sens ses grosses couilles lisses taper et rebondir dans un bruit de claquement visqueux. La bave du pompage précédent mélangée à mon jus de cul, sans doute. Oh putain c’est bon! J’ai la gueule qui s’enfonce dans le tapis à chaque coup. Je tourne la tête du côté du miroir et j’admire la scène latéralement. Je suis à quatre pattes, tête contre le sol, cul relevé et bien écarté. Mon enculeur me chevauche comme un animal, il repose ses mains sur mon dos et assène des coups puissants avec ses hanches. Il baise avec amplitude. Il suit un cadence élevée, mais sans précipitation. Il donne à chaque coup de pilon le temps de prendre de la hauteur pour s’abattre avec puissance dans mon fion maintenant en charpie. Nos regards se croisent dans le miroir. “C’est bon une grosse bite de mâle dans ton trou de femelle, hein, espèce de lope!” me lance-t-il tout en continuant à me niquer sans relâche. Je baragouine une réponse, mais la gueule dans le tapis, ce n’est pas facile. “Putain qu’elle petasse, elle arrive même plus parler! T’as pas l’habitude des teubs de cité toi!” lâche-t-il en se marrant. Le temps est une notion floue en ces instants. Cela doit faire environ 25 minutes qu’il m’encule sans relâche. Jamais auparavant on ne m’avait niqué de la sorte, 25 minutes d’affilée dans une position comme celle-ci. Il tient une forme olympique! “Je vais te remplir le fion ma petasse, t’auras jamais vu ça!”, dit-il l’air sûr de lui. “Ouais vas-y, vidange-toi dans mon cul! Ensemence-moi le boule!” lui dis-je en branlant ma comparativement modeste bite. Les coups s’accélèrent, il halète. Soudain, il sort sa tige et commence une série impressionnante de giclées. De grosses quantités à chaque jet. Un foutre épais et pourtant projeté loin sur mon dos, puis dans mon cul ouvert. Il gicle au moins 10 fois! Du jamais vu pour moi. Je sens mon dos inondé. Les jets se sont taris. Il enduit alors sa queue avec les nombreuses coulures de sperme frais et les enfonce alors délicieusement dans mon fion affamé. Il joue ainsi pendant 2-3 minutes, le temps nécessaire à ce que moi aussi je vide mes couilles. Sentir l’odeur particulière et spécifique du foutre humain, c’est l’opium des lopes! Je me retourne alors et sans lui demander son accord, j’engouffre sa queue pleine de jus mêlés et je m’en délecte. “Ouais c’est bien, bouffe tout ce jus. Nettoie ma teub, fais-toi plaisir! Quelle putain de lope!” dit-il d’une voix satisfaite et moqueuse. Une fois son sexe ripoliné, il se lève, remonte son froc, commence à partir, puis se retourne et me dit: “Demain je viens avec 4-5 potes si t’es dispo!” “Bien sûr! Même heure?” lui dis-je du tac au tac. “Même heure” répond-t-il laconiquement en partant, sans même me regarder. Toujours à 4 pattes, le cul souillé de foutre, je repense à mes voisins. Qu’est-ce qu’ils ont dû se faire chier avec leur télé, leurs jeux à la cons pendant que moi je me faisais joyeusement démolir le trou du cul à coup de grosse bite banlieusardes! Peut-être ont-ils profité du spectacle, mais je n’arrive pas à me souvenir si je couinais en me faisant bourrer juste avant. Au final, peut-être importe. Ce qui compte c’est d’avoir eu ma dose! “Vivement demain!” dis-je seul à voix haute, sourire au coin des lèvres.