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Plan à 3 avec mon voisin
Histoire gay publiée le 31/05/2022
“Ouais, plus fort! Vas-y putain, démolis-moi!” J’enjoins depuis une bonne demi-heure Sofiane, un superbe beur actif, trouvé au hasard de mes pérégrinations Internetesque, à me labourer l’anus toujours plus fort. Ce n’est pas qu’il manque de vigueur, ni même qu’un quelconque appel à un regain d’intensité fut nécessaire. Sûrement pas! Simplement, si moi j’aime être traité de petasse, lui aime être encouragé. Mon support lui est donné à cœur joie, car il me baise bien à fond et magistralement. Sa queue n’est certes pas la plus longue de mon historique, mais elle est sacrément large! Presque un avant-bras. Un vrai délice d’accueillir un si gros zob dans mon fion. On connaît tous ces petites putes couinant comme des hyènes lorsqu’elle encaissent de la teub. Je ne suis pas de cette sorte. Quand je parle au mec en train de s’occuper de moi, c’est toujours d’une voix masculine, virile, intense. Surtout, je parle sans retenue, crûment et fort. C’est en plein dans cette séance de quasi fistage à la bite que la sonnette de mon appartement retentit. “Fais chier bordel! Qui peut bien venir me casser les couilles à cette heure-là!” dis-je à voix haute, véritablement agacé de voir le pilonnage s’interrompre ainsi. “C’est pas grave! J’avais envie de te fister un peu, alors vas répondre et quand tu reviens, je me venge avec mon avant-bras!”, me dit avec supériorité le beau Sofiane, la verge tendue comme un mat et luisante de jus de cul. Délicieusement surpris par la tirade du jeune beur, je me relève, enfile mon bas de training en cotton gris et me dirige vers la porte avec empressement, je languis déjà de me prendre son poing dans le rectum! C’est mon voisin du dessus, Loïc. Un jeune étudiant en droit, il doit avoir dans les 25 ans. C’est un très beau mec, originaire de Bretagne si ma mémoire est bonne. Nous avions discuté un peu dans la cage d’escalier lors de son emménagement il y a 6 mois environ. Il est un peu plus petit que moi, fin. C’est un peu un minet, mais il est craquant. Dommage qu’il soit hétéro! “Euh… désolé de te déranger… enfin, je sais pas comment te dire ça mais… mais j’ai cru entendre que t’étais en train de t’en prendre plein le cul… et je me demandais si je pouvais me joindre à toi, à vous… enfin désolé si je t’embête…” me dit mon voisin sur un ton incertain, confus et le regard baissé. Pendant qu’il parlait, j’avais remarqué un net renflement au niveau de son entrejambe et je ne voyais qu’une raison à cela, le petit gars bandait sec et possédait sans doute une trique tout à fait respectable! “Hein? Quoi? T’as entendu quoi?” dis-je interloqué. “Ben, les murs et plafonds ne sont pas très épais dans nos appartements… et tu parles fort quand tu te fais… sodomiser! C’est pas la première fois que je t’entends… et là, ben…” dit-il en terminant par baisser le regard sur la grosse au niveau de son entrejambe. “Moi qui te croyais hétéro! C’est vraiment incongru, mais… rentre, je t’en prie! repris-je en tâtant le paquet tout engoncé du voisin. “Eh du coup tu veux quoi? Te faire défoncer avec moi ou alors te joindre à l’autre pour me péter la rondelle?” demandais-je avec intérêt. “Ben… là j’ai vraiment très envie d’un cul…” avoue Loïc, toujours sur la retenue. “Ok! Je vais me prendre double dose alors! Eh, au fait, fais pas le timide, tu sembles avoir compris que je suis une lope-à-jus, alors profite!” dis-je en sentant mon cul se liquéfier par le double matraquage annoncé. J’emmène mon voisin dans la chambre et explique rapidement la situation à Sofiane. “Bon, toi la petasse tu te remets à quatre pattes! Toi le petit nouveau, montre-nous un peu ce que tu as entre les jambes!” s’exclame Sofiane, le poing déjà tout enduit d’un lubrifiant visqueux et blanchâtre. On dirait du foutre ce lubrifiant. Ça me donne faim. Loïc enlève son froc et libère une queue disproportionnée par rapport au reste de son corps. Elle est longue, au moins 20cm, et raide comme une barre à mine. Ce sexe rosé, terminé par un gland rouge baiseacé prêt à péter, et entrelacé de grosses veines saillantes, contraste avec la blancheur du reste du corps du petit Breton. “Ah ouais, pas mal l’engin! Je suis sûr que notre sac-à-foutre va se régaler!” constate à voix haute un Sofiane visiblement excité par la situation. Semblant prendre confiance en lui, Loïc s’avance vers moi. Sa trique apparaît immobile tellement sa base est rigide. Par contre, ses burnes se balancent lourdement, laissant supposer un grosse quantité de jus, un détail à faire saliver tous les vidangeurs de bite dans l’âme. “Alors voisin, tu veux goûter à de la grosse queue bretonne? Tu peux la téter, mais pour ça faut quémander un peu! Vas-y, montre-moi que t’es une salope!” dit Loïc, cette fois d’un ton bien assuré, tranchant radicalement avec celui d’il y a quelques minutes. “Oh mais je suis une grosse salope et depuis que j’ai ta queue sous les yeux, je ne pense qu’à m’éssouffler dessus! S’il te plaît, laisse une chiennasse bouffer de la bite! J’ai deux trous et celui-ci est vide depuis un moment, il faut me le remplir!”, lancé-je à l’attention du Breton, dans une supplication absente de la moindre trace d’amour propre. Il est vrai que Sofiane ne m’avait pas laissé le pomper plus tôt dans la soirée, il s’était directement attelé à me travailler le cul à l’aide de sa langue, de ses doigts et ensuite avec le démonte-pneu qui lui sert de teub. Comme un boulimique devant un plat appétissant, de ma position à quatre pattes, je m’installe à genoux et fourre la tige chaude de mon voisin au fond de mon gosier et commence un pompage intensif, goulu, bruyant, baveux. Loïc apprécie sans nul doute mon travail, car il pousse des râles de plaisir, entrecoupés de petites phrases du genre: “Ah mais elle avait faim la petasse!” ou “Ouais, vas-y, tire bien dessus, biberonne comme une chienne!”. Je ne les retiens pas toutes, car je suis trop absorbé par le plaisir de sucer un bon mâle bandant. Enfin, la promesse de Sofiane se réalise. Je sens en effet des doigts s’insérer dans mon anus encore tout ravagé par le niquage précédent. Il manque encore le pouce. Mon fisteur rebeu prends son temps, mais je ne paie rien pour attendre! Comme je suis agenouillé afin de sucer la bite de l’autre, Sofiane s’est accroupi derrière moi pour accéder à mon derche. C’est tellement bon d’être comme ça, à genoux les fesses écartées, un bout de main dans mon fion mousseux et la gueule remplie par 20cm de trique bretonne! Je me donne pleinement dans l’attente d’une seule chose: me faire gaver de 2 bonnes doses de sperme! Loïc retire sa teub, me prend le visage d’une main et crache un peu de bave dessus, puis il m’assène une gifle puissante en me traitant de sale petite lope. Bordel, ça change du petit timide qui était à ma porte il y a peu, me dis-je intérieurement! Je suis aux anges. Au moment où Loïc commence une série de biffles sur mes joues et ma langue tirée, Sofiane passe la vitesse supérieure et enfonce son poing tout entier dans mon rectum. “Attends, on va déplacer la petasse! Ce sera mieux pour la fister!” propose alors Loïc, à ma grande surprise. Les deux baiseurs semblent s’entendre, se comprendre, même avec un minimum de mots. Je me demande à ce moment-là combien de lopes comme moi ils ont déjà chacun tringlées. Un sacré paquet, j’en suis sûr. Sofiane retire son poing et ils me font monter sur le pieu. Loïc se met à genoux à l’extrémité nord, le corps droit, alors que Sofiane se place debout à l’autre extrémité. Moi, je suis mis à quatre entre les deux, comme une marchandise, un outil. Le poing se renfonce dans mon trou et le zgeg se réintroduit dans ma gorge. Un intense labourage commence de chaque côté. Ils s’encouragent l’un l’autre à coup de petites phrases dégradantes à mon égard. J’en capte certaines et cela fait redoubler mon attention à me comporter comme il faut, c’est-à-dire en simple tire-jus, en vide-couilles, en sac-à-foutre! “Y a de la place pour 2 dans cette chienne! Viens la niquer avec moi!” dit Sofiane, sans me prêter attention, ni à mon cul déjà largement ravagé. “Ah sûr, tu l’as bien démonté le trou de cette lope!” répond Loïc en matant mon cul après avoir rejoint Sofiane. Ce dernier se couche et me fait monter accroupi sur lui. Il introduit sa large teub et invite ensuite mon voisin à lui aussi s’enfiler au fond ce qu’il reste de mon anus. Loïc doit s’y prendre à plusieurs reprises pour trouver le bon angle permettant à sa grosse verge de se frayer un chemin dans ce fion occupé. Cette recherche est toujours délicieuse pour moi. Je deviens un peu égoïste en ces moments-là. Je pense à la queue qui me rempli et imagine à quoi ressemble celle qui cherche à rentrer. J’imagine mon cul tout baveux. Moi qui suis pourtant très masculin, je deviens alors pleinement femelle, soumis à la teub des mâles qui me souillent et me saillissent. Finalement, Loïc trouve un chemin et sa longue verge rentre peu à peu. Mon fion tout distendu ne souffre pas vraiment, mais sentir ces deux bites chaudes qui se frottent dans mes entrailles, putain comme c’est bon! J’encourage mon duo de lopeurs à me labourer sans retenue. À ce stade, c’est surtout Loïc qui s’active. Il tape fort le petit. Il doit être en manque. J’espère qu’il ne viendra pas trop rapidement, me dis-je. Ce serait dommage de ne pas profiter plus longtemps de ces deux triques simultanément. “Ça vous dit que je m’enfonce sur vos deux grosses queues en m’asseyant dessus?”, dis-je avec la certitude d’être entendu et de faire ainsi durer la séance de défonce. Ils acquiescent, comme je l’avais envisagé. J’arrange la position des deux compères de lopage. Ils sont couché cul à cul, leurs paires de couilles écrasées l’une contre l’autre. Le contraste entre les sexes et évident. Ramassé, couleur de caramel et épais comme un tronc pour Sofiane. Élance, lisse et blanc rosé pour Loïc. J’enjambe les baiseurs aux triques pointant vers le plafond et place un pied de chaque côté. Je sens couler de mon cul un peu de bave et de lubrifiant mélangés. Enfin, je m’accroupis. Mon fion entre d’abord en contact avec les 20 et quelques centimètres de mon voisin. Je tortille un peu, afin de faire rentrer son gland rouge et gonfle dans ma rondelle distendue. Mon cul mange quelques centimètres, puis il rencontre la bûche de Sofiane. Je dois un peu grailler avec mes doigts, dandiner comme une chienne afin de permettre à la deuxième bite de rentrer. Mon fion subit un exercice de dilation plutôt important. Il est vrai que ces deux queues sont très dures et avec leurs formes courbées, elles tirent chacune dans un sens opposé. Mon rectum, lui, accueille ces deux gros morceaux de viande avec délice. Je descends centimètre par centimètre. Plus le diamètre totale augmente, plus je pousse des râles animaliaux. J’atteins finalement la base des queues, je ne peux pas descendre plus. C’est dommage, j’aurais aimé faire glisser mon trou infiniment. “Bon, t’attends quoi pour nous branler avec ton cul espèce de grosse lope”? lance Loïc, avec une attitude de macho qui m’excite comme un gamin qui rentre dans un magasin de jouet. Je m’étais un peu trop concentré sur moi et j’avais perdu de vue mon rôle: être un vide-burnes soumis, chaud et bien petasse. Pas besoin de me le dire deux fois. Instantanément, je commence à me limer le cul sur ces deux vits. Je remonte aussi haut que possible sans faire sortir la plus courte des teubs, puis je me renfonce avec puissance, jusqu’à m’abattre rudement sur les bas-ventres de mes enculeurs. Bam, bam, bam. Je garde une rythme soutenu. Outre le plaisir du pilonnage que je gère moi-même, je suis particulièrement sensible aux sons de ces chairs gluantes qui se malaxent à grande puissance. Je regarde tour à tour mes alphas du jour. Une réelle satisfaction se lit sur leurs visages. D’ailleurs, leurs insultes sont un signe qui ne trompe pas, ils en profitent pour mon plus grand plaisir. “Je vais juter! Allez, fous-toi à quatre pattes grosse petasse, je vais te remplir comme un sac-à-foutre!” dit soudain Sofiane à mon égard. Ni une, ni deux, je libère les deux grosses teubs enserrées dans mon trou et me jette dans une position de chienne à féconder. J’ai la gueule dans le matelas, mes mains écartent mes fesses et donne en spectacle un trou béant ne demandant qu’à être fourré. Le bel arabe s’est mis debout derrière moi et s’astique le manche avec vigueur en matant ce gouffre noir et rose. J’ai perdu de vue le voisin, car ma seule attention est de voir, même d’un seul œil, le bon jus couler. Le voilà! Il coule, il gicle. Sofiane gémit comme un animal, pousse des râles de mâles. Du sperme chaud coule sur mon dos, mais le juteur plie les genoux et termine ses nombreux jets en visant droit dans mon fion. Je sens la semence s’abattre dans mon rectum. Quel délice que d’être ensemencé comme une femelle par un mâle viril. Après sa dernière goutte donnée, Sofiane enfonce directement sa teub encore dure tout au fond de mon cul, pour bien tasser son jus. Il me baise à couilles rabattues et fait mousser le bon foutre, comme s’il battait des œufs en neige dans mon anus. “Ah mon tour!” s’écrie Loïc, après avoir patiemment attendu. À peine le sexe de Sofiane est-il retiré que son remplaçant prend le relai. Il se mets à califourchon sur moi et débute alors un rude labourage pendant 5 bonnes minutes. “Tu voulais de la queue et du jus, hein, grosse petasse, grosse chienne! Je vais t’en donner du bon jus dans ta chatte de lope!”, clame-t-il avec assurance. Il retire sa bite et m’intime de me tourner pour le finir. Je pensais qu’il allait aussi féconder mon fion, mais il semble plutôt que je vais avaler directement au biberon! Du bon yop dans la gueule, génial! Je me retrouve face à cette grosse bite secouée avec puissance et n’ai d’yeux que pour ces grosses couilles pleines, rebondissant telles des boules magiques. J’essaie d’avancer pour choper la teub, mais Loïc me repousse. “Tu veux ta dose hein, espèce de tire-jus! Attends deux secondes, je vais te désaltérer!” me dit-il d’un ton condescendant, mais tellement excitant. “Allez, viens téter maintenant!” lâche-t-il finalement. Je fonce sur la teub enduite du parfait mélange de la jute de Sofiane, des baves de mes deux enculeurs et du jus de mon fion. Ma bouche pompe la verge de Loïc avec une incroyable puissance. Ce jus, je le veux et je le veux maintenant! Je tire, j’aspire, comme une traînée, à grand renfort de bruits. Soudain, les mains de voisin me bloquent la tête et stoppent mes movements. Je sens la trique s’enfoncer dans mon gosier à la limite de l’explosion. Voilà enfin le jus, il arrive! Je sens sur toute la longueur de la teub les pulsations si caractéristiques du sperme en train d’être éjecté. Il est carrément en train de m’inséminer par voie orale! Le bonheur! La quantité de jute est impressionnante. Elle commence à couler sur mes joues et je sens qu’il en vient encore. Ce jus est très liquide, amer, mais je me régale. J’ai toujours la gueule prise dans l’étreinte de mon juteur. Il m’injecte son délicieux sperme comme on coulerait du béton dans une fosse. “T’avales pas! Tu gardes tout en bouche et quand j’ai terminé, tu me montres ta gueule ouverte!” dit, sûr de mon obéissance, le jeune Breton. Comme il semble avoir terminé, ça teub maculée de foutre se retire peu à peu. Je m’exécute en gardant en bouche le maximum du jus dont on vient de me gaver. Avec fierté, comme une bête chienne, j’ouvre grand la gueule en direction des deux mecs qui se sont placés côte-à-côte pour admirer le spectacle. En bonne lope, je fais quelques gargarismes. Des bulles de foutres éclatent et coulent des mes lèvres baveuses. “Ah putain, c’est quand même une sacrée chienne mon voisin. J’aurais pas pensé à ce point!” dit Loïc à l’attention de Sofiane. “Ça c’est sûr! Une véritable chienne! Avale et ensuite tu viens nettoyer nos teubs. Y a encore un peu de jus pour toi salope!” lance un Sofiane apparement satisfait de sa vidange. Je gobe avec extase cette copieuse dose de sperme en regardant alternativement mes baiseurs, puis je me lèche plusieurs fois les lèvres avant de m’avancer, toujours à quatre pattes, vers les deux verges ramollissantes. Je tire encore le reste de jus que je trouve et je fourre ensuite les deux glands dans ma bouche pour les téter goulûment, en faisant de forts bruits de bouche. Mon cul fait des bulles et des pets de jute. Je suis bien rempli par tous les trous. “Bon, moi je me casse. Je te recontacte quand j’ai les couilles pleines! dit Sofiane. “Pareil pour moi”, renchérît Loïc. “Quand vous voulez! Tant que vous amenez des couilles pleines, je les vide!” réponds-je avec sérieux et envie. Une fois tout seul, je me remets à quatre pattes, fourre quelques doigts dans mon cul pour les enduire de sperme. Tout en suçant mes doigts dégoulinant de semence, je me branle et repense aux salaces insultes qui m’ont été adressées durant cette séance de baise. Je jute en 2 minutes. Me voilà le cul et la bouche ensemencés, les couilles vidées. Je suis bien, et pourtant je ne pense qu’à une chose: à quand la prochaine vidange!