Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Le restoroute
Histoire gay publiée le 03/06/2022
Cela fait bientôt 3h30 que je roule. La route est mauvaise à cause de la pluie, en plus il fait nuit. Je suis parti à 20h de chez moi pour aller passer quelques jours chez des amis à Montpellier. Un pause pisse est nécessaire. Comme je suis seul, je ne peux compter que sur moi pour conduire. Le prochain restoroute se trouve à 50 bornes, c’est trop. Je décide donc de m’arrêter à la prochaine aire d’autoroute. 1500m plus loin, je prends la sortie et me gare. L’endroit est lugubre et n’inspire pas confiance, mais pour pisser ça ira très bien. Je rentre dans les chiottes et me dirige vers le pissoir. C’est un mur de tôle d’acier de 3-4 mètres de large, sans cloisons. On pisse donc côte à côte, sans intimité. Enfin, peu importe, je suis seul. Depuis une année, je porte régulièrement autour des couilles un poids à étirer. Il pèse environ 450g. J’ai une bonne grosse teub, environ 21x6, mais mes couilles n’ont jamais été assez pendantes à mon goût. Quand une petite lope s’agenouille devant moi, je veux la faire saliver avec un gros sacs bien tombant. Alors, je fais le nécessaire pour y remédier. Pour remettre en place et aussi mater l’effet de mon poids sur les couilles, je défais ma ceinture et baisse mon jeans jusqu’à libérer complètement ma teub. Je ne porte pas de sous-vêtement, mon cul est donc m partiellement visible, mais je suis seul et comme il est tard, je ne risque pas de déranger un vieil hétéro ou un prude. Ma bite pend lourdement, la fatigue sans doute. L’étireur fonctionne à merveille, mon sac est plein de peau et chair pendantes. Je pisse à gros jet depuis à peine 5 secondes quand j’entends un bruit de porte. Je vois dans le reflet d’un miroir que ce n’est pas celle de l’entrée. Le bruit provient donc d’une des cabines à l’intérieur. Je n’étais pas seul! J’hésite une seconde à relever un peu mon pantalon, puis je me dis que , j’ai le droit de pisser le cul à l’air! Sorti de sa cabine, celui que je suppose être un gars, puisque je ne l’ai pas encore vu, viens se placer à environ 50cm de moi. Je suis sur mes gardes. On ne sait pas quel débile peut bien se trouver dans les toilettes sordides d’une aire d’autoroute à presque minuit! Mon inquiétude passagère s’efface à l’instant où je tourne la tête pour voir à qui j’ai affaire. Le mec à côté de moi (oui, il s’agit bien d’un mec!) ne porte pas de froc! Il n’a qu’un pull, des chaussures et des chaussettes blanches hautes. Du bas-ventre au chaussettes, rien. J’ai les yeux écarquillés et ne peux m’empêcher de fixer la belle grosse bite qui pend entre ses jambes. Je lui donne environ 10 ans de moins que moi, c’est-à-dire dans les 22-23 ans, pas plus. Le mec me fait immédiatement penser à Hector, un modèle sur Citebeur. Il est plus petit que lui, encore plus fin, ce qui rend sa grosse queue encore plus remarquable. Je dois faire bien 20cm de plus au hauteur et peser 25kg de plus que cette crevette. Je ne l’ai pas mentionné, mais je fais beaucoup de fitness et j’ai une belle carrure sportive. Pas besoin d’avoir fait science-po, le mec à mes côtés est une petite lope en recherche de gros zobs masculins! « Belle bite! C’est toujours sexy les petits mecs tous fins avec une matraque entre les jambes! » dis-je d’une voix volontairement dominante. « Tu veux m’enculer? J’ai le cul tout vide et je serais mieux s’il était plein… » dit-il du tac au tac en écartant un peu ses fesses d’une main. « Ah ouais, carrément! T’es une sacrée salope ma parole! Mais bien sûr, je t’encule, par contre faut pomper un peu avant. Pas de pipe, pas de bite! » lui dis-je en sachant que cette lope allait s’exécuter en un clin d’œil. Ça ne manque pas. Le petit salope s’agenouille direct, les genoux dans la pisse. Je suis encore en train d’uriner, mais il me fait me tourner pour lui faire face. Je l’arrose donc du liquide jaune et chaud de ma vessie. Une sacrée chienne! Il engouffre ma teub molle et se met à la sucer comme s’il embrassait son plus grand amour. De la pisse gicle de sa bouche pendant qu’il pompe et lèche. « C’est beau tes couilles avec ce gros poids, tu juteras fort avec ça! dit-il d’une voix de minet après avoir libéré ma queue grossissante, la bouche maculée de pisse. La source jaune s’est tarie et la petite lope reprend son travail, avec l’aide supplémentaire de ses deux mains. Il suce sacrément bien mon cochon. Avec ses lèvre et sa langue, il crée une sorte d’anus buccal, extrêmement doux. Ma teub grandit rapidement, pour atteindre sa taille maximale. Je le regarde un peu amusé, mais surtout très excité, en train de s’enfoncer ma bite dans la gueule à coup de grands mouvements de tête, l’avalant entièrement, puis la relâchant d’un mouvement répétitif et expert, dans un rythme soutenu. C’est sûr qu’il tète souvent le petit! Ce plan totalement imprévu commence à prendre un tournure splendide. Je lui assène quelques claques en le traitant ouvertement de petasse, pour voir comment il réagit. Le résultat est spectaculaire, il se met à biberonner comme un malade en couinant, sans me lâcher du regard. C’est définitivement une chienne qui est agenouillée devant moi. « Alors comme ça tu viens chercher de la grosse teub dans des chiottes publiques? Tu viens souvent faire la chienne ici? » demandé-je avec une réelle curiosité. « Dès que je peux, mais au moins 4 fois par semaine. Je peux pas vivre sans me faire doser par de grosses queues inconnues! » répond-t-il après avoir libérer mon sexe. Il recommence à me téter et place une main sur le gros poids en acier qui me tire les couilles. Il joue à le faire se balancer tout en biberonnant mon gland. Il arrive, par une astuce qui m’échappe, à me mâchouiller le gland comme si ses dents disparaissaient. C’est une sensation étrangement jouissive. Puis il attaque le gobage des mes couilles, tendues par 450 grammes de métal. Il lèche, suce, suçote, tète, biberonne, mâchouille, aspire, gobe, tire et se frotte le visage avec ma tige, mon gland, mes couilles. « Et tu trouves facilement ces queues alors? Tu prends tout ce qui passe? » continues-je à demander en admirant le spectacle offert par cette traînée. « Je suis une lope sélective. Je reste dans ma cabine jusqu’à l’arrivée d’un mec qui me plaît et ensuite j’essaie. Y a pas mal de gars qui tentent leur chance… je crois que le mot se passe de gars en gars… alors si jamais tu as des potes dans ton genre qui passent dans la région… tu leur dis de venir ici, dès 22h30, du lundi au jeudi… » me dit-il. Ok. C’est une vrai salope qui semble vivre pour son art. Chapeau bas l’artiste! Mais bon, c’est pas tout. J’ai encore 4 heures de route alors je vais passer la vitesse supérieur avec cette salope. « Intéressant. Je leur dirai! Tu auras sans doute de la visite. Bon, moi je suis un peu pressé alors maintenant que ma bite est bien dure, je vais te défoncer ta chatte! » lui dis-je en lui collant un bonne claque dans la gueule, histoire de remettre les pendules à l’heure. On est pas là pour palabrer. Il m’a proposé son fion, alors il est temps de l’utiliser. Ni une ni deux, il se retourne et offre à ma vue un magnifique cul tout lisse et ferme. Ses couilles sont impressionnantes, elles s’étirent sur je ne sais combien de centimètres, mais elles sont surtout massives. Je suis un peu jaloux! Je vois à la forme et aux ridules de son trou qu’il a l’habitude des grosses défonces. J’imagine que les godes XL, les doubles pénétrations ou le fisting ne lui sont non plus pas étrangers. En m’attendant, il écarte sa rondelle, s’introduit un majeur et se doigte en gémissant pitoyablement, tout en collant sa face contre le sol couvert de pisse et sans doute de sperme! Un instant, je pense à lui demander s’il veut que j’enfile une capote. Moi je n’en ai pas et je doute qu’il en cache sous son pull! Finalement, je me dis qu’il serait dommage de priver cette chienne d’une dose bien tassée au fond de son derche. Tant pis, je l’encule à cru. Deux bons crachats, un sur ma teub, l’autre sur son croupion et hop, je descends sur mes jambes et me mets à califourchon. J’approcher ma tige de son anus tout fripé. Je frotte un peu ma teub pour l’enduire de bave et je commence à chercher l’entrée. Je pousse à gauche, à droite, en haut, en bas. Finalement, mon gland trouve la voie et s’enfonce comme dans du beurre. Je écarte largement mes jambes, puis me recale pour trouver un parfait équilibre, ce qui me permettra de donner toute l’amplitude et la puissance nécessaires à l’enculage de cette lope! Une fois bien en place, je rentre et sors 3-4 fois. Quand tout est en ordre, je prends plus d’élan et débute le démontage. Il gémit comme une femmelette à chaque coup. Il est à la fois ridicule et bandant. J’accélère le mouvement et ça commence à pilonner sec! Mes couilles, prises dans leur étau de 450g, s’abattent avec une immense puissance près des couilles de la lope. Je sens sa main qui vient tâter mes burnes lorsqu’elles viennent le frapper. Moi qui suis aussi passif parfois, j’imagine que la sensation de cette masse qui le martèle doit être dingue! Ça fait peut-être seulement 6-7 minutes que je lui défonce le cul, mais j’ai envie de me vider, alors je ne retiens rien et pousse la cadence jusqu’à déclencher l’orgasme. « Ah putain, je vais te remplir ton fion sale lope! » dis-je en ne pensant qu’à mon plaisir. « Oh oui, oui, vas-y craches ton gros jus! Remplis-moi le fion! Je suis une grosse petasse, crache tout! » lance-t-il comme un dépravé. Voilà, mon sperme coule à flot, des gros jets. Je suis tout au fond de ses entrailles. Je le féconde. Je reste en position jusqu’à avoir vidé tout mon sac, jusqu’au dernier spasme. J’espère qu’il sent avec son cul les pulsations de ma teub qui se vide. Je me retire pour admirer la scène. Son fion est béant et visqueux. Comme c’est beau. L’orifice se referme, puis, comme s’il faisait la moue, il expulse un peu de jus encore tout chaud. Je suis certain que cette salope le fait exprès pour moi, pour mon plaisir de mateur, pour me prouver qu’il est bien ensemencé. Pas si vite mon petit, me dis-je intérieurement, ce jus il va dans ton cul! Je me baisse à nouveau et à l’aide de ma teub, telle une spatule de pâtissier, je fourre toutes les coulures là où elles doivent aller: dans le trou de balle de cette magistrale lope-à-jus! Je le laisse un instant savourer le moment. Il semble être bien la gueule dans la pisse, le cul labouré et crémeux toujours offert. « Bon, je dois y aller et j’ai pas de quoi m’essuyer la queue. Viens la nettoyer! » lui dis-je sans plaisanter. Il s’exécute avec un visible enthousiasme. Il gobe cette tige baveuse et débute un vrai travail d’aspirateur. Après 1-2 minutes, ma verge est comme neuve. Je remonte mon pantalon et pars. « Je reviendrai ici, le 6 ou le 7 mai, en remontant de mes vacances à Montpellier. J’espère que tu seras là. Pour ta gouverne, je serai avec un ami… et je t’assure que ça queue, c’est du genre mastodonte! » lui dis-je en espérant avoir la chance de le baiser en trio. « Sûr! Je serai là le 6 et le 7 à vous attendre toi et ton pote! J’en ai déjà le cul qui fourmille! » lâche-t-il en tortillant son cul, toujours à quatre pattes dans la pisse et la jute, la tête tournée pour me regarder. Je laisse le vide-couilles dans ses chiottes et me casse. Je crève toujours de faim en démarrant ma voiture. Vivement le prochain restoroute.