Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Facefuck au Maroc
Histoire gay publiée le 14/10/2022
Hello les mecs, je voulais vous raconter une histoire qui m’est arrivée pour de vrai quand j’étais en vacances au Maroc l’été dernier. Apres un bon moment de restrictions, on pouvait de nouveau aller visiter en touriste le Maroc. Mes parents se decident donc pour Marrakesh. On loue un petit riad et on part pour deux semaines. Mes parents ne le savent pas mais voila quelques temps que je m’enfile des queues en scred et j’ai un faible pour les rebeux. Peu importe l’âge ou l’apparence mais je fond devant un mec arabe. Et là, il y en a partout! J’avais trop fantasmé sur des histoires où un touriste se fait baiser a l’arrière d’une échoppe. Et assez vite j’ai eu envie d’essayer de voir si c’était vrai. Je me met donc un petit short, un tee-shirt de touriste, lunette de soleil et casquettes. Mes jambes imberbes et fines se terminent sur des chaussettes converses. Pour info j’ai 18 ans depuis mars donc je suis assez jeune, imberbe partout et blondinet. Je dis à mes parents que je vais visiter le marché. Je fais quelques boutiques en remuant légèrement du cul… les mecs sont a mon gout mais pas de reactions. Je me suis dis que donc c’etait pas vrai… que mon fantasme s’envolait. Je rentre dans une boutique de vetements « traditionnels » pour touriste. Le mec est un gars de 40-45 ans, un peu bedonnant, mais musclé. Il fait viril et sévère. Je me prépare a ressortir, deçu, quand il m’interpelle. « T’es français? » Je repond que oui. « Viens j’ai un truc qui peut te plaire. » La voix est seche, dure, grave et virile. Je reviens en trainant les pieds. Il me montre le fond du magasin. « Tu veux y encaisser mon zeb? » Je suis choqué et surpris. Je souris. « Je m’en doutais… Marwane! » Il appelle un gars, bien plus jeune, mon âge je dirais. Un gars a craqué, fin, sec, muscle et mat. « Occupe toi des clients un moment le monsieur veut essayer un truc. » Marwane vient dans la boutique. « Ok Tonton! » Le Tonton m’escorte jusqu’a l’arrière, dans une réserve pleine de ballot de vêtements, de cartons etc. Je suis intrigué une fois a l’arrière. « Comment vous avez su? » Il me prend par le cou. « Ta gueule petite petasse, ici tu l’ouvres que pour sucer! A genoux! » Je m’exécute direct en bonne soumise entrainée dans les caves parisiennes. Il a un sourire de satisfaction. Il sort de son short une énorme bite brune circoncise. Ça sent le mâle en rut et le sperme. « Suce! » L’ordre était direct et sans appel. J’avale direct la belle queue dressée, a genoux entre deux piles de cartons. Il pose sa main derrière ma tête et très vite il impose son rythme en me tenant par les cheveux. Il m’insulte en français et en arabe. Je comprend « khaba ». Puis sa deuxième main se pose aussi et il me facefuck totalement. Il grogne, je bave comme tout en gémissant. Il chuchote, alors qu’on entends les clients aller et venir dans l’échoppe. « Putain t’es une bonne toi tu arrives a tout avaler, j’ai jamais vu ça! Petite chienne. » Puis il se retire d’un coup. « Je veux tester ton cul. » Il fouille dans un coin en chuchotant: « Descend ton short… ah ouai rien en dessous, t’es une vraie petasse! » Il sort une capote d’un coin caché d’un ballot de vêtements. « Relève toi salope de blanc! » Je me lève et il me balance, tête la première, sur un des ballots. Je suis penché dessus, cul nu et en l’air, offert a sa merci. Je sens ses mains sur mes fesses. Il les caresse, les écarte, les embrasse, les mord. Il commence a me bouffer le cul. J’adore ça. Il sait y faire. Je suis pas le premier petit touriste qui se fait tringler ici. Il lèche mon petit cul imberbe et je gemis plys fort. Il me donne une fesse en chuchottant. « Moins fort sale pd, on va t’entendre! » « Je vais avoir du mal… » Il fouille un carton et sort un foulard qu’il roule boule. « Mord ça petite chienne! » Je mords le bâillon. Il reprend, j’adore. Puis il enfile la capote et se place derrière moi. Et sans autre préparation il entre en moi d’un coup. Je gémis de pLaisir et lui aussi. « Putain t’es ouvert toi! Tu te fais sauter tout le temps ou quoi?! » Et sans ménagement il me démonte le cul en m’insultant et en me tenant par les hanches. Au bout d’un long moment, je le sens accélérer, donner des coups de reins de plus en plus forts. Et enfin je sens la capote se gonfler de son sperme. Il se retire et claque mon cul. « Miam tu es bonne… » Je vais pour me relever. « Non non, bouge pas… Marwane! » Le fameux Marwane rentre dans l’arrière boutique. Je le vois pas mais je sens sa présence. « Ton tour! » Je suis toujours là, le short sur les chevilles, le cul a l’air, ouvert, penché sur ce ballot de vêtements. Le Tonton sort et je sens Marwane enlever son pantalon. Il se place derrière moi et me prend direct sans un mot. Je suis comme un objet pour lui alors que mes cris éssoufflés et le bruit des coups de reins qui frappe mon cul rebondi résonnent. Il est plus dur, plus rude que son oncle. Il se deride un peu: « Tu aimes ça hein! Le zeb arabe! Je sens que Tonton a bien nique ce cul! » Il continue un moment. Il se retire. «Enlève ton tee-shirt et met toi sur le dos par terre! Khaba! » Je suis a poil sur le sol, il est nu également. Il a un torse magnifique, musclé, dégoulinant de sueur. Il enlève le bâillon et met mes chevilles sur ses épaules. « Je veux te voir quand je t’encule petite femelle! » Il m’embrasse en se reintroduisant dans mon cul. Mes cris sont éssoufflés par sa langue qui m’envahit la bouche puis par une de ses mains alors qu’il me tamponne les fesses avec rudesse. Puis il se retire et retire sa capote assez vite avant de me faire mettre assis et de m’enfoncer son gros chibre circoncis dans la bouche et de lâcher 4 gros jets de sperme chaud. Il maintient ma tête pour être sur que j’ai tout avale… « Rhabille toi sale vide-couille! » Je me rhabille et je sors de l’arrière boutique. Le Tonton échange un sourire avec Marwane. „Le français tu reviens demain, j’aurais la meme marchandise! » Je suis revenu quasiment tous les jours mêmes un jour de fermeture avec un bon plan a 3. A la fin ils m’ont offert le foulard qui me servait de bâillon et un qui avait servit de lien pour « ma Mamy »… qui porte aujourd’hui autour du cou ce qui empechait son jeune homme de crier alors qu’il se faisait troncher par deux rebeux!