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Les ouvriers rebeux
Histoire gay publiée le 17/11/2022
Salut les beaux rebeus. Moi c’est Maxime, petit cefran bourge de province. Je suis un petit blondinet qui aime se faire bien enfile par des queues arabes. Cette histoire remonte à mes 18 ans. Tout juste après mon bac, je me repose en vacances chez moi. On a une grande maison dans le Loir et Cher, en dehors de la ville. A cette époque mes parents faisaient refaire une annexe de la maison. Les deux ouvriers engagés étaient deux rebeux de 39 et 29 ans. Un avec un aspect un peu daddy jeune et un jeune sec, musclé. Tous les deux étaient assez bronzés par le travail et le daddy avait une petite barbe taillée. A cette époque j’avais une coupe a la Justin Bieber, un style de jeune homme a papa bourge. Je passais mon été a sortir et a pioncer la journée jusqu’a 13:00. Les ouvriers étaient là de 10:00 à 18:00 quand les parents rentraient. Akim était le jeune et Mourad le vieux. Un jour, 1 semaine après qu’ils aient commencé, je me lève a 13:00 comme d’hab en boxer et je vais prendre mon petit dej. Je vais dans la cuisine et je mange sur la terrasse. Je vois les deux qui bossent. Je mange tranquillement en boxer. Pour info j’ai un joli corps sculpté par de la muscu , pec et abdo, de jolies jambes et cuisses et surtout un cul rebondis par beaucoup de coup de reins. Je mange tranquille en les regardant suer sous le soleil de juillet. Un fait une reflexion que j’entends « j’aimerai bien avoir sa vie a ce petit con qui fout rien a par rêver, sale gosse de riche. » Je repars dans ma chambre. Apres quelques minutes, les deux se pointent carrément dans ma chambre. « Euh oui ? » Mourad me parle avec une voix virile et profonde et un accent arabe. « Dis nous, j’ai vu ta demarche, tu te fais tringler toi non? » Je suis surpris mais … il a pas tors. « Euh, en quoi ça vous regarde? » Akim reponds avec un sourire. « On aimerait faire une pause et puis tu as pas l’air fatiguer a puissance de rêver! » « Euh… vous voulez? Vous etes? » « Non on est pas pd, mais ton cul blanc c’est comme celui des meufs » Ils sont graves excitants couverts de sueur, en tenue de travail. « Ok mais pas un mot aux parents? » Mourad me prend par la nuque et me colle a son entrejambe « Pas un mot salope. » Les deux se mettent autour de moi, je me met a genoux. Ils sortent leur bites de leur salopettes. Je me met a les sucer direct, branlant legerement, lechant le gland et les couilles et gobant ces deux bites de males qui puent la sueur. C’est bon de sentir cette odeur. Ils me prennent derriere la tete et accentue le mouvement. « Tu pompes bien sale petasse! Mieux qu’une meuf » « Il a une bouche de suceuse! » Ca dure un petit moment puis ils se retirent. Mourad m’ordonne d’un ton sec: « A poil, montre nous ce cul! » Je retire le boxer « Belle fesses bien rondes, un bon boul . Met toi sur le lit, sur le dos. » Alors que je m’allonge, Akim et Mourad se deshabillent. Les voila en chaussette. Akim est totalement imberbe mais Mourad est poilu. Mourad monte sous le lit qui grince sous sont poids. Il me leve les jambes et se place devant moi. « Tiens lui les chevilles a cette petasse » Akim monte sur le lit et se place au dessus de moi. Tiens mes chevilles ecartees. Ses couilles pendent au dessus de mon visage. « Leche lui les couilles salope! » Je m’execute alors que Mourad me crache sur le trou. Il passe un ou deux doigts et place sa belle bite devant. Il rentre d’un coup sec. Je gemis. « Ta gueule! » Il re-rentre et commence direct a me bourrer le cul. Il me baise rudement, fort et profonds, rapidement. Je sens son corps de male a chaque coup de reins. Le lit grince comme s’il allait cassé. Apres un moment il se retire et trois enormes jets de foutre chaud me recouvre le ventre et le torse. Il se retire du lit. « A toi Akim » Akim relache mes chevilles et mes jambes retombent lourdement. Mourad etait epuisant. Akim m’ordonne de me mettre a 4 pattes rt il se place derriere moi. Il me penetre direct, Mourad ayant deja fait la voie. Il me baise encore plus fort, je crie de plaisir et gemis sans arret. Le sperme de Mourad coule de mon ventre. Je jouis sans me toucher et je sens Akim se retirer et jouir sur mon cul. Il me claque le cul. Les deux se rhabillent. « Tu vois les jeune homme a papa c’est des bon vide couilles » Akim reponds a Mourad: « On viendra apres pour le second round » « Et le 3e » Le chantier a ete super long car chaque jour, une partie de leur tenps etait consacrer. M’ecarter les cuisses.