Histoires de sexe

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Le dard portugais
Histoire gay publiée le 21/11/2022
Je suis de sortie ce samedi soir dans un bar gay et j’me tape quelques sodas. Soudain le serveur m’apporte une autre limonade en me disant que c’était le gars là-bas qui me l’avait payé. Je remercie de loin le gars et il se lève pour se joindre à moi. Il avait tout de l’étalon portugais. Poils dépassent de la chemise, les yeux d’un brun profond. Le pur beau gosse. On parle quelques instants et finalement il me dit « tu viens chez moi? Y a trop de bruit ici ». J’accepte volontiers et on s’en va. On marche pendant 15min en parlant de tout et rien et on arrive finalement au pied de son immeuble. On monte les étages et il m’invite à entrer chez lui. Il enlève sa veste et déboutonne sa chemise. Il me demande si je veux quelque chose à avaler, et on s’installe dans le divan avec une limonade chacun. Il me regarde comme un prédateur avec sa proie. C’est effrayant et excitant à la fois. Il pose sa main sur ma cuisse et me remonte petit à petit. Je commence à lui caresser la main et je suppose qu’il n’attendait que ce feu vert pour démarrer. Il se penche vers moi et commence à m’embrasser, retire sa chemise et ouvre son jeans. Le mec musclé sec, taillé en V, avec juste ce qu’il faut de poil pour être viril. Tout en s’embrassant je me déshabille et il retire son pantalon. Je devine sa à travers son boxer blanc, il a l’air monté comme un cheval. Il retire son boxer et finalement un engin de 22cm se dresse fièrement devant moi (je le sais car il s’en ai vanté après l’acte). Là il me dit «j’espère que t’es passif ». Je lui dis que oui et je le vois très satisfait. Je lui pompe le dard longuement et il finit par me lécher le cul pendant que je le suce. Il prend une capote, et me rentre ses 22cm de portugais dans le fion, délicatement. Une fois que mon petit trou est suffisamment bien dilaté, il commence à me pilonner. J’ai rarement encaissé pendant aussi longtemps. Certes mon cul est entraîné aux gros zob mais là il fallait suivre. Le mec m’a fait faire toutes les positions possibles pendant plus de 1h15, d’après l’horloge de son salon. Quand je pense qu’il en a finit, il m’emmène dans sa chambre et il m’encule à nouveau sur son lit pendant un temps infini. Mon cul n’était plus qu’un trou béant. Finalement il se retire et viens s’asseoir sur mon torse, et commence a se branler. Je reçois une belle giclée de sperme chaud sur la gueule, quant à moi j’honore le haut de ses fesses de mon jus. Un plan cul hors norme. Il m’a dit qu’on se reverrait