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Les ouvriers rebeus
Histoire gay publiée le 08/12/2022
Les deux mecs rebeus venaient donc tous les jours pour les travaux. je devais me tenir prêt à assouvir leurs désirs à tout moment. Le grand truc d'Ahmed était de me faire lecher son cul. Ca commencait dés leur arrivée. Il se grimpait sur l'escabeau et me demandait de lui faire la toilette a son cul ou il s'asseyait sur ma gueule et je devais bien lecher et rentrer ma langue. J'étais devenu complètement accroc a son odeur de cul. Il aimait me faire téter sa bite dés qu'il faisait un pause. Il se prenait un café tout en m'appuyant la tête pour que j'avale tout son membre. Il me balancait ma dose dans la bouche ou dans mon café. Ca le faisait marrer. Il adorait aussi me pisser dessus. Son frère lui était plus timide. Au début, il regardait de loin en se marrant, puis il s'est rapproché pour se branler. Autant je sentais que ca excitait Ahmed de s'exhiber devant sonn frère. Ce n'était pas le cas d'Ibra. Ahmed, disait souvent : Regarde comme il aime ma grosse bite cette petasse ou plein de truc du genre. Ou alors, regarde s'il me met bien sa langue dans le cul. Ibra ne disait rien et s'executait, et il n'aimait pas que son frére le mate. J'avais du mal à comprendre ce qui se jouait entre les deux. Ahmed avait bien compris comme j'aimais leurs odeurs, donc je devais aussi m'exhiber avec leurs slips et cho7 sale. Très vite, Ahmed me baisait systématiquement en débauchant et il adorait que je tête une de ses cho7 crade ou me mettre son slip odorant dans la bouche. Ibra lui, me regardait de plus en plus tendrement. Je sentais autre chose. Il aimait me caresser et un jour que j'étais dans le jardin à l'abris du regard de son frère, il me retourna et en se collant à moi, il me roula une grosse pelle. J'étais scié. Un soir, Ahmed était parti et j'étais sous la douche. Soudain je senti une présence et Ibra était derriere la paroi de douche. Il s'est déshabillé et m'a rejoint. Il était comme un fou. Il me balbutiait des trucs que je ne comprenais pas, il m'a caressé, reniflé, leché, et enfin baisé collé contre la paroi de la douche. Sa bite était belle et longue. Je crois que je n'avais pas connu un tel plaisir. Son corps fut parcouru de courant électrique, presque des convulsions. J'hurlais de bonheur. Il déchargeât longuement en m'embrassant dans le cou. Quand je sorti de la douche, je vis qu'il pleurait... Il partit vite ne répondant à aucune de mes questions.