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Ma réputation de vide-couilles
Histoire gay publiée le 22/12/2022
Avant tout, je dois vous dire que j'ai toujours fantasmé sur les mecs de cité. Ils ont ce côté macho et dominateur qui m'excite énormément, ça me donne vraiment envie d'être en mode lope et de les laisser faire ce qu'ils ont envie avec mon corps. Et c'est ce qui s'est passé... Il y a 3 ans, je retourne dans la cité où j'ai grandi pour voir un pote. On passe l'après-midi ensemble, et en fin de journée je repars de chez lui. Au moment où j'arrive en bas de l'immeuble, je tombe sur 2 mecs, 2 arabes plutôt sexy, qui commencent à me demander ce que je fais là. Je leur dis que je suis juste venu voir un pote et que j'habitais là quand j'étais jeune. C'est là que l'un d'entre eux me reconnaît : "eh mais c'est pas toi Anthony, celui qui avait sucé des mecs dans les caves à l'époque ?!". Je nie et essaye de partir. Ils me bloquent le passage. "- Si si c'est bien toi je reconnais ta petite gueule de PD. T'es venu sucer un mec ici c'est ça ? - Non, je ne suis venu sucer personne, je ne suis pas homo. - Arrête de mythonner, je sais que c'est toi, sale petasse. Tu aimes la bite toi ça se voit de suite. J'ai vu que tu regardais mon gros paquet." dit-il en se mettant la main sur la bite. Évidemment, le réflexe a été immediat : j'ai baissé les yeux vers son gros paquet. Et pour être franc, ça me donnait bien envie de le déballer... "- Tu aimes la bite ? Et ben ça tombe bien, on en a 2 grosses pour toi. Tu vas nous sucer dans la cave, tu vas faire honneur à ta réputation de vide-couilles." Je faisais semblant de me débattre, tout en ayant secrètement envie de leurs belles queues bien raides. Un duo de mecs de cité qui me baise, le tout dans une cave ? Le fantasme ultime. Ils m'entrainèrent à la cave et me mirent à genoux. A peine eu-je le temps de relever la tête que j'avais déjà face à moi 2 énormes queues poilues qui en voulaient à ma bouche. Le premier m'attrapa par les cheveux, me bascula la tête en arrière et me cracha dans la bouche. Pas le temps de dire ouf qu'il me colle sa grosse bite au fond de la gorge et commence à me faire faire des vas et vient en m'attrapant la tête à deux mains. "Huuuuuuuum oh oui c'est bon ça grosse salope. Tu aimes ça la teub hein ? Prends la bien entière dans ta bouche. Huuuuuum putain comme c'est bon, on voit que tu as de l'expérience. Lèche moi les couilles là, comme ça vas-y. Ooooooh putain d'sa Mamy tu fais ça trop bien". Les coups de rein continuaient pendant que son pote se branlait en nous regardant. Le mec me biflait régulièrement, ce qui m'excitait au plus haut point. Tout en le suçant, j'observais le mec dont le gland me demontait la bouche. Un grand brun de 25 ans, très typé, musclé juste comme il faut, bien poilu et avec belle bite d'au moins 20cm. Ses couilles étaient énormes, comme je les aime. Je les prenais dans ma bouche tout en le branlant et en le regardant droit dans les yeux. J'aime me sentir dominé quand je me fais baiser. J'aime me sentir vraiment comme une grosse chienne, sentir mon cul qui commence à mouiller et qui serait prêt à accueillir une bite à tout moment. Je ne croyais pas si bien dire... Je continuais à sucer mon beau brun quand je sentis qu'on me caressait les fesses. L'autre gars, un petit brun assez costaud, s'était mis derrière moi et commençait à me caresser le cul. Sans prévenir, il me mit une fessée, ce qui redoubla mon excitation. Il sentit que ça m'avait plu et recommença, cette fois un petit peu plus fort. Je gémis, pour lui faire bien comprendre qu'il était sur la bonne voie. Il recommenca, augmentant l'intensité petit à petit jusqu'à ce que mes fesses commencent à rougir. Je savais bien que ces fessées avaient pour but de me préparer... Je l'entendis cracher sur mon anus, et me passer un doigt sur la rondelle. Il commença à me doigter, doucement d'abord puis de plus en plus fort. D'abord l'index, puis le majeur accompagna le premier doigt... Il fit quelques vas et vient pour détendre un peu mon anus. Je gemissais de plus en plus fort. Il prit ça pour une invitation et en rajouta un troisième. La douleur laissa vite la place au plaisir, et je remuais les fesses de plus en plus pour le lui faire comprendre. Il accéléra le mouvement et ses doigts entraient en moi sans le moindre problème. Tout en continuant à sucer son pote, je commençais à supplier pour qu'il me prenne avec sa belle queue. "- Baise moi ! - Ah tu veux que je te baise, grosse salope ? Tu as envie de ma grosse bite dans ton cul, c'est ça ? Dis le ! - J'ai envie de ta grosse bite dans mon cul ! - T'inquiète pas, sale petasse, tu vas l'avoir !" Ni une ni deux, il commenca à m'enfiler sa queue. Elle était assez longue, mais surtout bien large. Je lâchais un gros cri de chienne. La douleur était présente, mais ça n'était rien comparé au bonheur de se prendre ce gros gourdin dans mon cul. Il commença à me ramonner sans ménagement. "- Oooooh putain tu es étroit, j'adore ! Huuuuuuuum tu la sens ma queue hein ? - Oh oui je la sens, baise moi ! Baise moi à fond !" Il continua à me tringler comme ça pendant 10 bonnes minutes, je sentis chaque coup de rein, le tout en continuant à sucer son pote qui me démontait toujours la bouche, me mettant parfois les larmes aux yeux. Je voyais bien qu'ils prenaient leur pied à avoir fait de moi leur chienne. Et je leur fis bien comprendre que j'étais le plus heureux. Je n'arrêtais pas de gémir, de remuer les fesses, de mouiller du cul et de la bouche... Je sentis le mec que je suçais qui commençait à perdre pied, il commença à accélérer le rythme et ses râles se firent de plus en plus rapides, de plus en plus forts. Je décidais de le branler en même temps que je le suçais et ce fut pour lui le coup de grâce. Je l'entendis pousser un énorme gémissement et un "aaaaaaaaaaaah" de soulagement. Au même moment, il m'attrapa la tête à deux mains et bloqua sa bite au fond de la gorge. Je sentis son jus propulsé dans ma bouche. J'avais rarement eu une telle quantité de sperme en bouche. J'avalais tout avec un immense plaisir tandis que mon amant se retirait doucement de ma bouche. Je le vis en sueur et complètement vidé, dans tous les sens du terme. Son pote continuait de me baiser à grands coups de rein. Je sentais le feu qui montait en moi, et cela s'accentua quand mon amant décida de me caresser les tétons tout en me baisant. Si vous voulez rendre fou de plaisir un passif, rien de mieux que ça... Je me lâchais comme jamais, allant chercher sa queue pour l'enfoncer encore plus profond, sentir encore plus sa belle bite qui me démontait le cul. Je sentis mon excitation monter tellement que j'étais sur le point de jouir sans même me branler. Mon amant sentant que j'allais juter, il redoubla d'effort et me baisa avec encore plus d'intensité. Je sentais ses coups de rein, ses mains sur mes tétons, j'entendais ses cris de plaisir de plus en plus rauques, de plus en plus ux, jusqu'à la délivrance. Nous avons joui ensemble, moi sur le sol de la cave et lui en moi. Nous nous sommes écroulés parterre, épuisés par tant d'efforts et de plaisir. Cette histoire ne fut que la première d'une longue série avec mes deux lascars... et parfois plus que deux, d'ailleurs. Je retournais régulièrement dans cette cité, mais pas toujours pour voir mon pote. Dans tous les cas, j'y étais toujours bien accueilli... ;-)