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La bonne karba de Jaafar
Histoire gay publiée le 10/01/2023
J’ouvre la portière avant-passager. Elle monte la fiotte après avoir posée les courses à l’arrière. Sous son survêt, je lui fais toujours porter des porte-jarretelles. Elle est pluguée comme une bonne salope qui se doit. Elle sait qu’elle doit porter un plug à mes côtés la tapette. Sinon, je suis capable de la jeter avec ses bats sur un coin d’autoroute entre des camions de routiers. En montant dans ma caisse, je lui fais, la petasse, l’honneur de monter devant, de croiser les jambes parce qu’elle a la chatte pleine. Elle le sait. Elle me dit : Jaafar, merci d’accepter que je puisse monter à tes côtés. Je lui dis : T’as bien fait les courses, la putain ? T’as baissé les yeux devant les mâles ? … La Karba s’empresse de me rassurer. Jaafar, je suis une bonne petasse. Vas-y Karba, je lui réponds, t’es comme une femme pudique là, on voit pas que t’es une petasse. Enlève ton fute et sois fière d’être ma femelle. Elle comprends tout de suite, enlève son survêt de petit pd pour montrer ses dentelles noires. Là j’allume, je lui dis : Alors la Karba je roule et tu croises tes jambes de putain. Alors je prends la route. Je la bien montre dans la zone commerciale du périph, la putain à côté de son Maître, le mâle supérieur. Ma barbe, gueule rasée avec lunettes noires, où mon regard perce, derrière le verre légèrement fumé. La Karba a mis sa main près du short, sur mes cuisses poilues ; Tu touches pas encore à mon zob, putain, juste la cuisse et tu caresses bien les poils comme j’t’ai appris. Après avoir montré ma Karba à tous les carrefours, je remonte vers la cité. Là, je lui dis de remettre son fute, pendant que je tourne, puis je la fait sortir. J’ouvre la porte devant un groupe de frères pour la mettre à l’épreuve. Faut l’habituer à faire la tournée, cette petite Karba à rebeus. Mais faut pas les déshonorer les frères. Cette pédale je l’ai domestiquée et éduquée. Elle sait qu’il faut s’approcher avec discrétion et humilité d’un groupe de mâles, attirer leur attention, mais pas les provoquer ou les gêner. Ils vont pas la frapper dans la rue, la putain, ils sont éduqués par la société qui castre les seigneurs au lieu de les vénérer. Si elle tapine gratos ma Karba, c’est pour invitercer l’instinct et le pouvoir des mâles. Elle sert à ça, se mettre à leur disposition pour qu’ils puissent fracasser comme il se doit de la chatte ouverte et demandeuse, et aller chercher en eux toujours plus leur virilité, là sur une Karba, une femelle qui sera contente de s’être offerte. Elle, la putain, elle vénère les vrais hommes qui considèrent que tout ce qui se présente en est leur source de plaisir seigneurial, leur objet de jouissance de leur pulsion la plus sauvage et supérieure. Faut des seigneurs et elle se dévoue la Karba, pour invitercer le mâle et l’épanouir. Elle considère la petasse, elle me l’a dit, que seuls les mecs brutaux et machos sont de vrais hommes accomplis. C’est pour ça que je l’ai prise sous ma protection la fiotte. Faut l’épanouir aussi en Karba. Elle en a marre des pd actifs, des petits bourgeois. Elle est née pour ça la putain, être au service de la puissance du mâle oriental. Ils sont 5. Ils discutent au pied d’un immeuble. Il est 17h, ce 2 janvier et la nuit commence à tomber, les réverbères se sont allumés. La Karba se rapproche et je me recule pour me garer avec les codes allumés, non loin. La Karba fait ce que je lui ai dit : Elle est envoyée par son Maître pour faire plaisir aux frères. Je fais un appel de phare puis j’éteins. Ça dure deux trois minutes. Y en a un qui la pousse à genoux, l’autre qui lui tient le bras. La putain montre pas de résistance. Il y en a un qui lui baisse son pantalon et elle cambre avec ses bats la salope. Le plus grand s’approche, lui parle, lui tire une petite gifle. Puis, il lui tient le visage, la remonte, puis la prend ensuite par le bras. Ils se dirige avec la bonne Karba vers l’immeuble. Quand elle reviendra souillée, je l’amènerai dans le parc pour la finir. Lui donner quelques coups de ceinture sur les fesses, le cul qui dépasse du coffre. Il fait froid, faut pas croire que je vais sortir mon gros zob dans la nuit de l’hiver. Elle croyait quoi la Karba. Une fois rougie, elle montera chez moi pour être récompensée, que je me vide au chaud, en pacha. À quatre pattes, attachée, au pied du fauteuil, que je lui défonce la gorge baveuse avec mon gros zob de mâle, la limer, que je la tienne au sol près de mon pied qu’elle va lécher, une fois que j’aurai giclé, lui claquer sa grosse chatte rougie jusqu’à ce qu’elle me remercie d’être pleine du sperme de son rebeu, de ce sperme de seigneur que j’ai bien voulu lui accorder. La Karba, elle en désire encore, elle vénère. Elle a besoin de bien comprendre et d’intégrer ça. Y a que comme ça qu’elle deviennent dociles les lopes de internet, dignes du statut de la bonne femelle à rebeu.