Histoires de sexe

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Au sauna - 2
Histoire gay publiée le 14/02/2023
(Suite de mon aventure au sauna) ... Il me demanda si j'en avais eu assez, je lui répondit "non, j'aime trop le cul". Il me dit alors de rester dans la cabine , de fermer la porte derrière lui et qu'il allait m'envoyer une surprise sous peu de temps. Il quitta la cabine, je fermai derrière lui et me rallongé sur le matelas en simili cuir en me remettant doucement de mes émotions. Les effets du poppers s'estompaient peu à peu. Dans les cabines alentours, des mecs gémissaient de plaisir d'autres grognaient, certainement au moment de leur éjaculation. Cela était bien excitant. Quelques minutes passèrent et à un moment j'entendit frapper à la porte. Je me demandai quelques secondes si ça avait frappé à ma porte ou à un d'à côté mais lorsqu'on refrappa, je vis un pied passer sous la porte. J'ouvris et me trouvai nez à nez avec deux mecs, grands, rebeu, bien gaulé du torse et moulés dans leurs petites serviettes blanches d'où dépassaient leurs queues mi-molles. Ils me saluèrent et entrèrent dans la cabine repoussant la porte derrière eux. Direct, le plus grand des deux se pencha sur moi et m'embrassa tout en retirant sa serviette. Je sentis contre moi sa queue qui commençait sérieusement à gonfler. Pendant ce temps le second passa derrière moi et commença à me caresser partout puis à m'embrasser les fesses, me lécher le trou... Avec la chaleur, l'humidité, la musique, la tête me tournait un peu. Ils m'allongèrent sur le matelas, le premier écarta mes cuisses et posa son gland contre mon trou. "Il parait que Medhi te l'a déjà bien préparé?! ça va rentrer tout seul" me dit-il avec un sourire ravageur. Alors qu'il posa ses lèvre sur les miennes, je sentis son sexe entrer en moi. Il entra jusqu'au fond sans inviter. Alors qu'il me baisait, le second vint sur moi, à califourchon et me mit sa bite en bouche. Je le suçai goulûment jusqu'en fond de gorge au rythme des vas et viens. Au bout d'un moment le premier se retira et me dit " t'es trop trop bon mais j'ai pas envie de jouir tout de suite, je viens d'arriver. Je fais une petite pause. Il remit sa serviette autour de sa taille tandis que le second prenais sa place dans mon cul en m'annonçant en souriant "Salut, moi c'est Samir!" je répondit sur le ton de l'humour "enchanté" tandis qu'il enfonçait en moi sa queue bien épaisse. Le premier ouvrit la porte de la cabine et en sortant croisa un autre mec, un blanc, blond, la quarantaine, bien gaulé style nageur, il lui dit quelque chose à l'oreille et le blond entra dans la cabine. Il nous observa quelques instants, la main dans sa serviette et un sourire aux lèvres. Au bout d'un moment Samir se retira en soupirant qu'il avait failli tout lâcher "Faut que j'en garde pour le reste de la nuit" dit il en riant. Il m'embrassa et e dit "à tout à l'heure si tu veux" et il sortit. Le blond referma la porte et s'approcha de moi "tu as envie de te faire déglinguer?" me demanda-t-il en me tendant un flacon de poppers. "Grave" répondis je en prenant le flacon et en le portant à mon nez. Je connaissais cette marque et savait qu'il retournait bien la tête et j'eu bien raison d'en prendre un profonde inspiration quand je vis le matos du blond. En effet il venait de faire tomber sa serviette et présenta sur devant ma bouche une queue énorme, longue, veineuse, circoncise. Je le pris immédiatement en bouche et lui fit son affaire. Dés le premier fond de gorge, je faillis cracher tellement les haut le coeur étaient puissants. Même en fond de gorge, je ne pouvais pas toucher son torse avec mon nez. Il me fit mettre à quatre pattes et me prit par derrière comme une chienne en chaleur. Là, je ne pus m'empêcher de gémir et pousser des petits cris à la fois de plaisir et aussi de douleur au passage de cette queue. Il me démonta sur le matelas de longues minutes et je pensais aux mecs des autres cabines et devaient entendre mes gémissements. Cette idée me plaisait. Il fini par se retirer mais trop tard pour se retenir il lâcha 3 gros jets de sperme blanc et épais sur le matelas en simili juste entre mes jambes. Puis, sans un mot mais avec un clin d'oeil, il remis sa serviette et quitta la cabine. Je me relevai avec difficulté, nettoyai le matelas avec de l'essui tout et du désinfectant à disposition puis quittai la cabine en direction du fumoir. A suivre...