Histoires de sexe

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Dans les alpes françaises - 1
Histoire gay publiée le 22/02/2023
Je vais vous raconter une histoire qui s’est passé y a 3 ans. J’étais parti en vacances au ski en février 2020 dans les alpes françaises. Je suis parti seul car personne de mon entourage n’aime le ski et le froid, et encore moins la neige. Suis arrivé à mon appartement vers 8h du matin et je suis allé chercher mon matériel de location de ski. Vers 9h on avait rendez vous pour notre première journée de ski avec moniteur. Je me dirige vers les pieds des pistes et je vois un groupe qui attend. Je leur demande si c’est bien le groupe de 9h et je me mets avec eux. A 9h pile un mec arrive, et je suis littéralement tombé amoureux. Un visage d’ange! Je suis resté subjugué. Le gars se présente, il s’appelle Andrea et il sera notre moniteur pour la semaine. J’en mouille déjà mon slip. Toute la matinée je n’ai fait que le regarder, et je pense qu’à un moment il l’a remarqué. Vers midi on est allé mangé dans un chalet de montagne en bord des pistes. Soda chaud, tartiflette, parfait. Je m’assieds sur la terrasse et Andrea vient s’asseoir à côté de moi. « Salut, tout va bien? » qu’il me dit. Je perds un peu mes moyens et je bafouille comme un gosse. Finalement je lui dis que oui. « Parce que j’ai remarqué que tu me regardais souvent ». Je lui ai trouvé l’excuse que je regardais les mouvements qu’il faisait pour mieux les reproduire. L’excuse semblait correcte. On est tous reparti et l’après midi s’est déroulé sans soucis. Le soir je vais manger au resto de mon hôtel, et ensuite je vais au bar prendre un p’tit verre de soda. Qui vois je arriver ? Andrea. Le mec s’assied avec moi et commande comme moi. On a commencé à discuter et j’ai finalement appris qu’il était italien, originaire de Milan, 30 ans comme moi. Célibataire depuis 2 ans. On fait un peu connaissance et il me demande si je veux monter prendre un dernière verre dans sa chambre. Suis vraiment mal à l’aise et je lui dis oui finalement. On monte par l’escalier et je vois ses fesses musclées se balancer de marche en marche. Je sens ma queue frétiller. On rentre il va dans le frigo et m’offre une limonade. On s’assied dans le canapé et on recommence à parler. Au fil de la conversation j’apprends qu’il est gay… le feu d’artifice commence dans ma tête … Je lui avoue que moi aussi. Il sourit et me dit qu’il l’avait remarqué dès le repas de midi que je l’avais pas lâché du regard de la journée et qu’il l’avait remarqué. Je deviens tout rouge et il trouve ça mignon. Il se rapproche de moi et commence à m’embrasser tendrement. Je réponds a son baiser, et il retire son pull… Quand on dit que les mecs sont taillés en V, c’est pas que des expressions. Une musculature parfaite, poilu à souhait. D’une virilité insolente. Il me regarde ensuite dans les yeux et il me dit « j’espère que t’es passif ». Je lui ai répondu « comme tu veux ». Il retire son pantalon et son boxer et là je crois que mon inquiétude s’est vue sur mon visage. J’avais rarement vu un engin pareil. J’ai appris par le futur qu’il a une bite de 26cm sur 6. Directement il me rassure en me disant « t’inquiète pas, ça va rentrer sans soucis tu verras ». Je suis malgré tout sceptique. Ok ça fait 15 ans que je suis passif mais j’ai jamais vu une bite pareille. Je me déshabille et il me complimente sur mon physique. Je suis assez bien foutu aussi on va pas jouer les modestes. 10 ans que je fais du sport, légèrement poilu. Il se couche et m’invite à aller le sucer. Je fais comme je peux pour prendre cet engin monstrueux dans ma bouche. Je commence quelques va et viens et j’attends que ça lui plait avec les compliments qu’il me fait. Quelques minutes plus tard il se redresse et me dit « t’es prêt ? ». Je lui réponds non. Il sourit et me redit « ça va aller tu verras ». Il m’emmène dans sa chambre et me couche délicatement sur le ventre. Il sort une capote, du gel et commence à bouffer le cul. On m’avait jamais bouffé et doigté comme ça. Un vrai expert. Je l’entends enfiler sa capote, mon cœur s’accélère, et je le sens toquer à la porte. Je sens mon trou se dilater, et il s’enfonce délicatement, centimètre par centimètre. Je me sens complètement rempli en quelques secondes et il me dit « tu vois que ça va… », je lui réponds « oui mais fallait pas plus ». Il rit et me dit « tout n’est pas encore rentré… ». Je le sentais au fond pourtant. Suite au second épisode