Un moment de tendresse entre hommes
Histoire gay publiée le 24/04/2023
Je me baladais dans un parc pas loin de chez moi. Il faisait sombre, mais je connaissais les allées par cœur, je marchais à l'aveugle. Plus loin, je vois un gars en survet' qui cherche un truc avec la lumière du smartphone. Je le dépasse. Puis je sens qu'il m'éclaire de dos avec son téléphone. J'ai un doute, je m'arrête, faisant semblant de nouer les lacets de mes baskets. Au bout de 15 secondes, je sens sa main me peloter le cul en s'attardant longuement sur ma raie. Je le prends par la main, et je l'amène derrière le buisson pas loin du chemin. On s'éclaire avec son smartphone. Il a autour de 45 ans, chauve, barbe en collier, un look bad boy super excitant, musclé comme un dieu grec, avec des tatouages tribaux sur son ventre et ses pecs, qui couraient sur ses bras, et un piercing sur chaque téton. Son membre bien dur et épais faisait bien 19 cm et suintait la mouille avec générosité. Je m'agenouille, et me mets à le sucer. Je presse ma langue contre sa verge tout en longueur, j'extraie sa mouille que je déguste avec gourmandise. Je sens sa sève monter. Il veut pas jouir tout de suite. Il se retire de ma bouche, me retourne, et me lèche la raie avec maîtrise, plaquant sa langue chaude et douce contre mon trou, le masse, le pénètre, le prépare avec tendresse à accueillir son membre tout raide. Je le laisse faire, il kiffe ça, gémit tout en me léchant. Puis il se redresse, baisse son jogging à mi-jambes. Sentant son besoin de me fourrer, je sors mon tube de lubrifiant, et je me tartine le trou pour faciliter le passage. J'ai à peine fini qu'il m'enserre par derrière dans ses bras virils avec une tendresse que je n'imaginais pas de lui. Il m'étreint, me caresse avec douceur, m'embrasse dans le cou. Je sens ses jambes puissantes, écartées et bien plantées dans le sol, et rentre doucement mais sûrement son membre en moi, en soupirant à chaque centimètre gagné en moi. Une fois entré jusqu'à la garde, il lâche un râle viril, soupire doucement, tout en continuant de me caresser dans ses bras musclés. Je sens son corps chaud et dessiné collé contre le mien. Il commence ses petits va-et-vient. Je le laisse faire, il sait ce qu'il veut, et je suis prêt à tout lui offrir. Il sent mon trou se détendre et s'habituer à son braquemart, il commence à me pilonner sans pitié. J'adore ça. Pendant ce temps, il me caresse le visage, la joue, avec douceur, puis me tourne la tête pour me rouler une pelle langoureuse pendant qu'il me pine. C'est trop bon. Je sens son odeur de transpiration de mâle qui infuse de ses dessous de bras poilus. Je rapproche mon nez au plus près de son dessous de bras, qu'il me présente royalement en mettant son bras gauche derrière sa tête. Son bras droit me tenait fermement contre lui. Son souffle s'accélère. Je sens sa queue se durcir. Il va décharger. Ça m'excite encore plus. Il se rapproche et me murmure doucement dans l'oreille : "Putain mec, tu me fais tellement monter, je vais décharger...". Je lui réponds dans un souffle "Allez, ne gâche pas, féconde moi bien au fond, gars...' Tout excité et ragaillardi par ma réponse, il me serre fort dans ses bras, et me dit : "Oh mec, chui tellement content que tu le demandes ! Tout ce que tu veux !" Et là, il accélère, se raidit de tout son corps, me serre encore plus fort contre lui, colle sa tête contre la mienne, la bouche près de mon oreille, et j'entends clairement ses râles de jouissance. Tout en sentant son membre se contracter bien au fond de mon ventre. Je sens la chaleur de sa sève me remplir le cul, c'est divin. Il tremble frénétiquement, puis se calme. Et tout en restant bien planté en moi, me caresse avec tendresse, et m'embrasse a pleine bouche pendant un long moment qui me semble durer une éternité. On est bien, là, au milieu du parc, sans personne autour, l'un dans l'autre, à s'échanger un moment de tendresse entre hommes. Il est encore bien dur, planté en moi. Il se retire lentement, toujours raide de mon cul, et je sens que son jus en quantité très généreuse va s'échapper. Il le sait. A peine retiré, il se met accroupi, écarte mes fesses, et me lèche la semence qui s'échappe pour ne pas la gâcher. Je fonds. Quand il a terminé, je m'accroupis pour lui purger ce qu'il reste de sperme de sa queue. Je la mets en bouche, presse son urètre le long de la tige avec ma langue bien plaquée contre le membre, et je lui tire une dose bien généreuse de son jus. Je me lève, on se roule une pelle bien juteuse tout en s'enserrant dans les bras l'un de l'autre. On a un peu parlé, pleinement satisfait de cette rencontre chaude et pénétrante, nous avons échangé nos numéros, et j'ai couru vers chez moi, sentant mon cul bien rempli, prêt à déborder. Arrivé chez moi, mon calbut était imbibé de foutre, qui coulait le long de mes jambes. J'ai un peu nettoyé ce qui débordait à la main (que j'ai bouffé avec gourmandise !)