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Sa putain queue de rebeu !
Histoire gay publiée le 15/05/2023
je suis dans le tram en direction de la confluence à Lyon je croise le regard d un jeune rebeu de 20 piges il mesure 1 80 mince en survet il a un super bon boule et une bonne grosse devant wouah quelle bite il doit avoir je le regarde de la tête aux pieds il me toise je baise la tête , il voit que je suis une lope il reste a coter de moi . Je me lève et descends du tram il me colle aux basques je rentre dans mon immeuble mince il me suit monte dans l’ascenseur avec moi il me dit ta gueule la lope tu es à moi now. Il me mets a genou il me montre un monstre de bite que je suce — Continue, c'est trop bon, me lance-t-il finalement en appuyant sur mon crâne pour m'empêcher de me retirer Alors, je l'ai sucé comme la plus grosse chienne, m'éssoufflant avec plaisir sur sa grosse bite. Plus j'avalais et plus il m'enfonçait son membre au fond de la gorge. Il m'a littéralement détruit la trachée avec sa putain queue ! Des flots de baves accompagnaient chaque fourrage de gorge. Au bout d'un moment, en me tirant les cheveux afin de ramener mon visage face à lui, il me dit : — J'ai trop envie de te baiser maintenant, sale pédé ! ouvre ta porte la chienne magne toi salope de Je lui explique que je n'ai pas de capote, mais que ce n'est pas l'envie qui me manque. Ma rondelle frétille à l'idée de prendre cette grosse matraque délicieuse au fond de mon cul. il est mdr, il me rétorque : — Rien à foutre, je vais te casser le cul ! Il me retourne et commence à me mettre rudement deux doigts dans le trou. Surpris et surtout envahi par la douleur, je ne peux m'empêcher de lâcher un cri. — Ta gueule pédé ! C'est ce que tu aimes, non ? Alors ferme ta gueule ! Il a continué à me doigter comme une rude pendant un moment et j'avoue que la rudesse avec laquelle il me traitait n'était pas pour me déplaire. — Putain, c'est une bonne chatte ça ! Tu la veux ma queue, hein ? Partagé entre le désir, le plaisir et la douleur, je n'ai pu que lui répondre un "oui" accompagné de gémissements de salope. — Mets-toi à quatre pattes, le cul bien en l'air ! Tu vas voir ! Rapidement je m'exécute et sens la grosse queue écarte encore plus ta rondelle la chienne et il me pénètre en puissance. — Oh putain, t'es serré sale chienne, me fit-il en initiant un mouvement de va-et-vient à la fois maléfique fort et divin. À chaque coup de reins, j'entendais ses lourdes couilles claquer contre mes fesses. Puis, il retirait presque entièrement sa teub et l'enfonçait à nouveau rudement dans un nouveau claquement de burnes. Parfois, il lui prenait l'envie de me fesser fermement et de me traiter de sale pédé, ou de petite chienne. Et presque en même temps, ce fut l'explosion Il se vidait au fond de mon cul et j'eus l'impression d'avoir des litres de foutre et que sa jouissance ne s'arrêterait pas. Je me mis à juter sans me branler . A ma surprise il se releva après que je lui aie rendu une bite bien propre. et j'eus une sensation de vide dans le cul. Je me relevais de mon lit et quand je fus debout, le sperme coulait sur mes jambes s'échappant de mon cul qui semblait ne plus vouloir se refermer. putain de mec il me regarda dans le yeux et me roula une grosse pelle baveuse . je me casse salope à bientôt j’ai ton adresse