Histoires de sexe

1h30 en moi Il y a quelques jours, j'étais en manque. Petit coup d'oeil sur une appli où je retrouve une vieille connaissance. Il est dispo et me propose de venir le rejoindre dès que possible. En deux-deux, je suis devant chez lui. Je l'ai pas vu depuis plus de 2 ans. Il m'ouvre, je monte, rentre, ferme à clé et je me mets direct à poils. Lui, il prends son temps, me dévoilant progressivement son magnifique corps d'ébène. Le bogoss de 29 ans, ouvrier du bâtiment, pas un gramme de gras, les épaules larges et une queue de 21 cm hyper épaisse. Je me rapproche, les yeux baissés. Il m'autorise à venir me coller à lui et pouvoir le caresser, parcourir du bout des doigts sa peau. Mais ca ne dure que quelques secondes, juste le temps de m'imprégner de sa bonne odeur de vrai male dominant. Il m'attrape par les cheveux et me met à genoux pour venir honorer sa belle queue. Il bande pas encore, mais je sais ce qu'il aime : que je la lèche progressivement, que je la mette en entier dans ma bouche pour bien la faire grossir. Je la sens se gorger de sang et me remplir de plus en plus. Elle m'envahit la bouche la gorge. Extraordinaire cette sensation de sentir en meme temps sa queue grossir et ma gorge s'ouvrir. Lui aussi aime ça. Je sais que je dois garder ce morceau sans le faire sortir. Il m'étouffe mais je dois le garder, sinon il me mettra dehors direct (à poils). Je suis en pleine ville, il y a encore du monde dans les rues. Je n'ai même pas mes clés... et puis j'aime ça. Je sens qu'elle est tendue au maximum. Il m'empoigne les tétons de ses deux mains, me les tord à fond. Je couine, mais sa queue m'empêche de gueuler. Il sort enfin son énorme gourdin. Je ne me rappelais pas qu'il était aussi large et long. Il l'empoigne et me biffle la gueule avec sa barre d'acier. "Ouvre ta gueule" m'ordonne-t-il. Je m'exécute. Il rentre à nouveau sa queue et pose son gland sur ma langue. "Bouge pas. Fais ta bonne petasse. Tu l'aimes ma queue... alors avale". Et je sens qu'il me pisse dans la bouche. Il ne me l'avais encore jamais fait, et ne m'a jamais demandé. Il m'utilise à sa guise. J'adore. Et j'encaisse. Les quelques gouttes du début se transforme en un jet énorme et constant pendant de très longues secondes. J'avale. Pas le choix. Il a pas dû pisser depuis un bon moment. Le goût est fort, très fort et bien dense. Il sait comment faire comment me remettre à ma place. A peine terminé, il m'attrape par les cheveux, me relève, me retourne pour que je lui offre ma chatte. Je ne suis pas encore remis la séance de pisse qu'il pose déjà son gland sur mon trou et pousse. Pas de lubrifiant, il a juste daigné poser un molard sur mon trou. Il pousse et rentre en direct l'intégralité de sa queue. Ouawww.... Là encore, je ferme ma gueule car je sais que la sanction du palier à poil est toujours possible. Il la ressort direct, attrape le poppers et me gaze lui même. Trois grosse présentation sous chaque narine. Il me bouche une narine d'une main et me présente le flacon de l'autre. L'effet est quasi immédiat. Il ferme le flacon et me pointe directement. Je sens mon cul s'ouvrir, se dilater d'un coup au fur et a mesure que le produit fait son effet. Il me perfore à nouveau la chatte. C'est parti pour 1h30 de pilonnage, sans qu'à aucun moment il ressorte complètement sa queue, alternant les moments calmes et les défonçage en règle. Comment un mec aussi beau peut-il apprécier une sous-xxx comme moi... Toutes les 10 minutes il ne me laisse pas le choix de me gazer... Interdiction de bouger, je suis là pour son plaisir. Il finit même par rentrer Deux doigts en plus de sa grosse queue. Et puis à un moment, il se cale au fond et ne bouge plus. Je sens les spasmes parcourir sa queue. Il me remplit. C'est la première fois que je sens le jus m'inonder, tellement son ejaculation est forte. Et ça ne s'arrête pas.... Je sers de toutes mes forces pour obliger mon trou à se refermer et ne pas laisser sortir son précieux jus. Il finit par décoller et dirige sa queue vers ma bouche "Nettoie moi ça !" dit-il en me rentrant direct sa queue en gorge profonde. Je lui lustre le dard. "Ok, maintenant casse-toi". Je prends juste le temps d'enfiler mon short et mes longues, ramasse au plus vite mes affaires et me dirige vers la porte. "Arrête. Viens-là". J'obtempère. Dès que je suis à sa portée, il passe sa mains dans la jambe droite de mon short, attrape mes couilles à pleine main et serre... La douleur est fulgurante. Je la sens remonter jusque au milieu de mon ventre. "Vide toi, au plus vite". Je bisse mon short, il lache mes couilles et cette fois-ci, le short baissé, il attrape chacune de mes couilles entre le pouce et l'index et serre. C'est très intense comme douleur. "T'as une minute pour te vider". Moi d'être pris par les couilles, ca me fait bander. Sauf que là, il y v fort. La douleur devient de plus en plus forte au fil des secondes. A peine 15 de passées et je suis au bord de l'ssement. Mais il continue et moi aussi pour que cela soit terminé au plus vite. Il me trait par les couilles. Et je me branle. 1 minute c'est court... La sensation est incroyable, ma prostate malmenée pendant une heure rayonne dans tout mon bas ventre, tout comme l'écrasage de mes boules, bientôt complété par un étirage en règle. En 30 secondes, je jouis. C'est énorme, autant en sensation qu'en quantité . "Tends ta couille gauche". Je l'empoigne. Il la veut séparée, et il me cadenasse le testicule. Non seulement c'est étroit et ca serre, mais je sais que je devrais le garder au moins 15 jours comme ça. "Barre-toi". Je fuis, à poils cette fois-ci en récupérant toutes mes affaires....