Histoires de sexe

Rappel parti 3 : Karim s’installe chez moi. Après une nuit particulièrement courte, Karim se réveil et part dans la salle de bain. Quand il reviens il est déjà habillé et me dit « j’ai des choses à faire, à bientôt kahba ». Je suis plutôt déçu de ne pas pouvoir le sucer au réveil ! La semaine se déroule tranquillement et vendredi soir Karim passe à la maison. Il est plutôt froid, du moins distant. Je lui sers à avaler et je tente des rapprochement physiques mais rien ne semble le chauffer. Il sort son téléphone et je vois sur Internet les photos et les vidéos qu’il a fait de nous. Je suis tellement terrifié que mon ventre se tord de douleur. « Alors comme tu vois, j’ai diffusé une vidéo de nous, pour être sure que tu puisses être très obéissante. Comme tu peux le voir, on voit pas ton visage, mais si jamais un jour tu décides de pas obéir, je diffuses sans le flouttage ». Je suis tellement sous le choc et j’ai tellement peur que tout ça parte en couille… Je le regarde sans rien dire. « Maintenant voilà les règles, je vais venir tous les midis pour que tu me fasses un bon repas et pour que tu me suces comme une chienne » Je trouve le courage de parler « mais Karim tu te rends compte que ça peut être grave quand même » Son regard se noircit : « on voit pas ton visage, et les vidéos tu me remercieras plus tard, ça servira pour un projet que j’ai avec toi », « donc continue d’obéir et de fermer ta gueule » Je le regarde et je ne dis rien. « Donc, en plus de venir le midi pour que tu me vides, je viendrai après le boulot et j’attends de toi que tu sois soumise, attentionné, et très ouverte. Je profiterai de ta chatte comme j’en ai envie avant de retourner chez moi ». Il continue sa liste d’exigences : - Le midi je devais lui préparer un repas qu’il peut me demander précisément ou non. Je devais lui préparer sa bière bien fraîche, l’accueillir complètement à poil et commencer à lui lécher et à lui nettoyer les pieds. Pendant son repas, j’avais obligation de prendre ses couilles ou sa bite dans la bouche à quatre pattes sans rien faire… (pour chauffer mon plaît disait-il). À la fin de son repas c’est la qu’il se servirait de ma gorge. - Le soir je devais l’attendre nue, la chatte rasée, propre et avec un gode parce qu’il voulait « m’exploser direct sans blabla ». Pour le week-end, tu devras venir chez moi, du samedi au dimanche soir, car j’ai louerai ton appart a des potes. Choqué par ce que j’entends : « Je te demande pardon mais tu crois que je vais laisser des gens chez moi ». Il me regarde avec un grand sourire, il me remontre la page Internet de nos vidéos « je pense pas que tu puisses ouvrir ta gueule de clebs ». J’étais terrifié que notre petit jeux soit dévoilé… Mais il avait raison je ne pouvais rien dire. Il se lève, il repart tranquillement. En me demandant d’être chez lui à 8h30 demain matin. Je passe une nuit plutôt désagréable étant stressé, mais également particulièrement curieux de voir où cela aller nous amener. Le lendemain matin, donc j’arrive chez Karim, en bas de son immeuble, je l’appelle, il me dit de monter jusqu’à son étage et qu’il m’ouvrirait la porte. Je rentre dans son appartement, je vois clairement que c’est l’appartement d’un couple avec des enfants. « Alors ici ton rôle de chienne est plutôt simple, tu vois ma femme est de permanence à l’hôpital tout les weekend, et nos deux garçons sont chez leurs grand . » Je le regarde un peu surpris « mais tu as pas peur qu’on se fasse choper ? » « Tu te doutes bien que si je te fais venir ici espèce de xxx, c’est qu’on craint rien ! Donc je disais, pendant tout le week-end, tu vas devoir faire le ménage, la cuisine, et bien sure, écarter les cuisses dès que je claque des doigts… » Il poursuit « Tu verras, ma femme, elle est pas douée pour le ménage, ni la cuisine… Elle est même pas douée au lit » Karim me demande donc de mettre à poil, il me rapporte un string. « Comme ça, je pourrais te mettre une cartouche dès que j’en ai envie ». J’ai commencé par la cuisine, le salon, karim faisait exprès de passer après moi pour me montrer que c’était pas très bien fait et en profiter pour m’humilier. Et donc, je devais également nettoyer les toilettes, la salle de bain, les chambres de ces deux gamins. Nettoyer les toilettes, c’était horrible, ses enfants ne devaient même pas faire l’effort de viser, ni lui… Et je devais également nettoyer leurs chambres. Karim se faisait un plaisir de sortir les caleçons sales, plein de taches de sperme encore frais pour les étaler sur mon visage pour bien me rabaisser. « Comme ça, ta tout le sperme de la famille, espèce de xxx ». Et très vite, c’est devenue une routine. La semaine je ne le voyait que le midi et que le soir, on échangeait très peu… Et le week-end je me faisais déglinguer salement dans tous les sens. En prime, il mangeait gratuitement tous les midis, et bien sure il prenait de l’argent en louant mon appartement.