Histoires de sexe

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Je te démonte salope
Histoire gay publiée le 28/07/2023
Je me replongeais dans mon livre tandis que le métro repartait de la station Hôtel de Ville. Encore quelques arrêts et je pourrais rentrer chez moi. La chaleur devenait écrasante, et mes cheveux brun perdait de leur volume et leur douceur pour se coller peu à peu sur mon crâne. Je sentais mes pecs musclés se coller peu à peu à mon t-shirt blanc. La trasse de sueur apparaissait. Il n’y avait pas grand monde dans le métro aujourd’hui. « Châtelet ». Une vague de personne descendait, une autre montait. Je quittais de nouveau mon livre pour regarder ces nouveaux arrivants. Deux jeunes, la vingtaine Un et son gars. Deux adolescents, TN au pieds. Comme j’aime ces chaussures, un côté gomme virile, homme sportif et surtout, homme de cité. Avant que les portes ne se referment, un homme de cité (du moins, c’est une supposition par ses vêtements), se faufile et vient s’assoir en face de moi. Je veux retourner à mon livre, mais ne peut m’empêcher de le regarder en biais. Il est assis, jambes écartées et bras croisés, le gars de ses écouteurs rentrent dans sa sacoche qui pends entre ses jambes. Il regarde par la fenêtre. Son t-shirt blanc semble être trop petit pour son corps musclé, il est prêt à exploser. Ses bracelets en argent coupe des gros bras. Une fine moustache se pose au dessus de ses lèvres rebondis. Son survet blanc lui moule mes cuisse, et ses TN blanches viennent compléter sa magnifique tenu. Il me fait de l’effet. Beaucoup. Ses petits yeux noirs quittent la fenêtre et me regardent. Je suis grillé. J’essaie de me replonger dans mon livre, mais les mots me semblent pas si important. Je regarde par la fenêtre, la réverbération me permettra de le mater plus discrètement. Les arrêts défilent, je ne les remarque plus, seul compte ses mouvements, lui. Il continue de me fixer. Je range le livre que j’avais posé sur mes cuisses, et tente un petit regard. Il me souris, je lui retourne. Il passe sa main sur son survet, sûrement pour remettre son paquet. J’ai l’impression qu’il m’invite à me mettre à genoux, à frotter mon visage pour faire monter la pression. « Pont de Neuilly ». Xxx, c’est mon arrêt. Je prends à la hâte mon sac et me faufile avant de quitter le métro. Ce mec m’a tellement rendu chienne que je sais comment ça se passer le reste de ma journée : chercher un plan pour satisfaire mes envies. Tandis que je monte les escaliers, je sens une main m’attraper le bras. Je me retourne et le vois. Ses yeux me rendent toute chose, je sens mes joues devenir rouge, la sueur a décidait ne plus se cantonner au sommet de me tête et perle maintenant sur mon front avant de s’arrêter dans mes poiles de barbes. J’arrive à baragouiner un petit « oui » à peine inaudible. - T’as laissé ton livre par terre, j’ai courus te l’apporté mec Il me le tend, je le récupère et le glisse dans mon sac. - Merci beaucoup, il ne fallait pas. Je lui souris une dernière fois, passe ma main dans mes cheveux pour tenter de contrôler la cascade. Je me retourne, et repart. Je monte les marches deux à deux. Je tente de m’éloigner le plus possible de cet étalon. Il m’attire autant qu’il m’effraie. Pourquoi ? C’est une bonne question ! Je ne me retrouve que très rarement sans voix, et quand cela se produit, j’ai l’impression d’être redevenue un , ce qui a le don de m’agacer. Le soleil chatouille enfin mon visage, le bruit de la ville et des travaux me relaxe. C’était un moment intense pour moi, et maintenant je peux respirer à pleins poumons. Je cherche mes clés dans mon sac avant d’arriver devant mon immeuble. Impossible de les trouver, je m’arrête et me plonge dedans. - Je ne sais pas ce que tu recherches, mais tu l’as pas laissé dans le métro. Je relève la tête et le voix, posé devant moi, les mains dans les poches de son jogg. - pardon ? - Ce que tu cherches, tu l’as pas laissé dans le métro. - Ah oui, non oui c’est sûr. J’aimerais qu’il s’en aille, je suis assez mal à l’aise. Qu’est ce qu’il me veut ? - Je me disais, pour me remercier pour ton livre, tu pourrais m’offrir à avaler. - Chez moi ? - Carré Je ne suis pas certains de comprendre, mais ma main touche enfin le porte clés. Je les extrait de leur prison, et le regarde une dernière fois. Je murmure un suis moi et me dirige vers mon immeuble. Une fois dans l’ascenseur, qui est normalement suiffisement grand, je me retrouve collé à lui. Je range mes mains derrière le dos pour éviter de le toucher par erreur. Il se rapproche de moi, en roulant les épaules. Ses bras s’aississent mes mains et les ramène devant, il les plaquent sur des pectoraux. Il rapproche sa tête de mon oreilles. - Wesh je sais que t’en a envie, je savais pas comment t’le proposer. Perdons pas de temps je dois retrouver mes potes. Il pose un baisé sur ma joue, puis plusieurs jusqu’a arriver à mes mes lèvres. Ses bras m’entourent les hanches, et me ramène pour que nos corps soit collé. Ses j’embrasse s’écartent un peu, les miennes restent serré. Il me plaque sur le mur de l’ascenseur, mes bras entourent son cou. Ses lèvres restent proche des miennes, mais nous nous embrassons pas. Ses mains glissent sur mes fesses. Nos visages se caressse. - J’espère que t’es prête, tu vas prendre cher. L’ascenseur s’arrête. Je sort, il me suis, collé derrière moi. La Porte n’est pas encore totalement fermée qui me plaque au mur. Je sens sa dans son survet se coller à mes fesses. De son pieds, il nous isole de mes voisins et continue à se frotter à mon cul pendant que ses mains me caresse le ventre et descendent vers mon penis. J’expire de joie. Après avoir cherché quelques chose dans sa sacoche, il la retire. Je veux me retourner mais il me plaque la tête sur le mur. - Bouge pas salope, tu vas me vider en silence. Je ne bronche plus. J’effectue des mouvements de bassins. Mon cul est en feu. Je veux qu’il me prenne. Il enleve son t-shirt, et me fesse le cul avant le malaxer. Je sens ses mains passer sous mon short. Il me caresse vigoureusement. Ses mains se posent sur mes hanches. Il ramène mon cul vers sa bite toujours emballé dans son pantalon blanc. Je ne bouge pas ma tête collé sur le mur, et je cambre mes fesses. Il baisse ement mon short, et sors sa bite de son survet. Je vais me retourner pour le sucer mais il me replaque le corps sur le mur en agrippant mon cou. - Je t’ai dis de ne pas bouger salope. Je sens son gros penis caresser l’entre de mes fesses. De temps en temps, il pose son gland sur mon trou, et pousse un peu. Je sens mon cul s’ouvrir, prêt à l’emploi. Ma respiration s’accélère. Je veux qu’il me prenne, je veux sentir son pieu rentrer en moi. Il me mets deux trois fessés. Ses mains glissent vers l’avant de mon corps et il se colle à moi. - Tu veux que je te defonce hein ? Je n’ai pas le temps de répondre qu’il rentre quelques doigts dans ma bouche et me tire la tête vers lui. Je sens son souffle chaud sur ma nuque. D’un coup, sa bite rentre en moi. Je pousse un cri é. Elle est grosse et m’écarte ement mes anneaux. Il ne bouge plus, s’enfonçant lentement de plus en plus loin. Une main agrippée à mes cheveux, un autre sur ma hanche, il commence à faire des va et viens, de plus en plus fort. Je sens sa bite coulisser, sa salive s’échapper de mon trou. Ses boules claquent mon cul. “Oh oui » « elle est trop bonne ta chatte de blanche » « tu l’as sens bien hein ? » « t’es trop bonne » « je te démonte salope » sont les quelques mots qu’il me hurle à l’oreille. D’une xxx que je n’avais jamais rencontré, il me fait quitter le mur et me mets au sol. Je relève mon cul pour qu’il y accès. - je vais bientôt me finir dans ton cul grosse petasse. Sa TN se pose sur ma tête. Je ressent sa bite rentrer de nouveau. Je hurle de plaisir. Il renforce la pression qu’il exerce sur ma tête. Sa main claque mon cul. - Ferme ta gueule salope. Ses mouvements sont de plus en plus brusque. Mon anus est totalement ouvert. Je sens son gland me taper la prostate. Je glisse ma main vers ma bite bien bandé pour me toucher un peu. Il l’a récupére et me la plaque sur le dos. Tout en s’agrippant à celle ci, il continue de me mettre des coups de bassin. J’ai le cul relève, la tête plaque au sol par sa chaussure. Cette position me permet de sentir chaque centimètre qui rentre dans mon cul. Il se repositionne derrière, me relève un peu le bassin. D’une main ferme, il me tire les cheveux et commence à me baiser le cul. Je sens le frottement de son survet sur mes mollets. - oh putain je vais te remplir le cul grosse petasse. Ses mouvements se font de plus en plus fort. Il pousse des râles, me tire la peau des hanches. Je hurle de plaisir. Sa respiration se fait de plus en plus forte. Son bras passe sous mon bas ventre, les va et vient continuent. - Oh oui ! Oh oui ! Je sens la capote se remplir. Puis un vide. Mon trou béant cherche le penis qu’il la fourré mais rien. Je ne bouge plus. Une capotte usagée tombe à côté de ma tête. J’entends l’élastique de son survet claque sur ses abdos. La porte s’ouvre et il s’en va. Je suis encore allongé sur le ventre, je touche mon penis. J’ai joui en me faisant prendre, ce qui est rare.