Histoires de sexe

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La nuit fantasmatique au commissariat
Histoire gay publiée le 14/09/2023
Je levais le visage en direction du ciel. La nuit était tombée depuis déjà quelques heures et une pluie fine et rafraichissante couvrait mon visage. J’étais enivré et heureux, j’avais laissé mon meilleur ami au parking du vieux port de Marseille et je rejoignais mon appartement minable rue Sainte, à pied. J’étais joyeux, j’étais heureux, je marchais en titubant. Attiré par la lumière d’un bar d’hôtel j’ai traversé la route. J’ai entendu soudain les crissements de pneus d’une voiture et je fus baigner dans la lumière vive des phares, je n’ai aperçu qu’une silhouette imposante carrée, une démarche rapide et assurée. Je me mis à crier que les piétons sont prioritaires sur la chaussée en tapant du poing du le capot de la voiture. J’ai senti soudain une main me serrer le bras, je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qu’il se passait que j’étais enfermé à l’arrière d’un utilitaire qui se mit à rouler à vive allure. Je me faisais balloter au grès des virages. Il y avait des seaux de peinture vides qui me heurtaient. J’étais essoufflé car j’avais crié vainement tout le long du trajet. -Et le trajet dura combien de temps ? Me demanda le policier qui saisissait ma plainte. -Je ne sais pas, une dizaine de minutes. Cette réponse lui déplu car il dressa les sourcils en prenant une profonde respiration. -C’est du sperme sur vos habits là ? Je fus tellement surpris par la question que, fasse à mon étonnement, il répéta : -C’est son foutre là et là ? En désignant mon t-shirt et mon jean. -Xxx, j’avais même pas fait attention, c’est dégueulasse. -Enlevez-les. Et moi qui pensait que la police de Marseille allait faire appel au département scientifique pour faire des recherches ADN… J’étais loin de me doutais. La porte s’était ouverte sur une espèce de parking désert au bord de la mer. Il m’a attrapé par la ceinture pour me faire sortir. Mais plus grande crainte c’était qu’il me prenne mon portable et m’abandonne loin de tout. Au lieu de ça, il a sorti une espèce de tournevis qu’il a planté dans ma gorge. Il ne l’a lâché que lorsque j’ai eu sa bite au fond de ma gorge. Il avait un sexe qui était très épais et ses poils venaient chatouiller mon nez. Je sentais son gland taper le fond de ma gorge. -Et tu n’as pas essayé de te débattre une fois qu’il a lâché le tournevis ? Me demanda le policier les sourcils froncés et une expression étrange qui déformait sa bouche. - Il m’appuyait derrière la tête ! Me défendis-je mais sans le convaincre. Je notais toutefois dans un coin de ma tête qu’il était passé au tutoiement. Il disait qu’il aimait mes cheveux longs avec mes mèches blondes, il m’a dit que j’étais une… il a employé un mot en arabe que je n’ai pas compris. -Quhba ! Répondit tout net le policier marseillais. Le mot résonna dans son bureau comme une menace. J’étais venu porter plainte contre des rebeus mais celui qui prenait ma plainte en était un aussi. Je dois reconnaître que j’étais gêné. Il a continué à me forcer jusqu’à ce qu’il jouisse au fond de ma gorge. J’ai essayé de recracher mais il m’a gifflé. J’ai vu un scooter arriver, deux amis à lui en sont descendus. L’un d’eux s’appelle Khaled, 22 ou 25 ans à peu près. Ils m’ont attrapé et mon jeté sur un banc. J’ai vu l’utilitaire quitter le parking. Ils m’ont retiré mon jean’s. L’un d’eux a versé un liquide huileux entre mes fesses et Khaled m’a sodomisé. Son pote a voulu que je le suce. -Et tu l’as fait ? Demanda le policier. -Oui. Répondis-je comme si cela était une évidence. -Ok. Et après ? Demanda-t-il comme si la suite ne l’intéressait déjà plus. -Celui que j’ai sucé apparemment c’était sa première fois, alors il a joui rapidement, je fixais mon t-shirt souillé. -C’est que tu dois être doué. Après ? -Khaled a pris appui sur mes épaules pour me sodomiser plus fort. Il a joui. Ils sont partis et ils m’ont laissé là. Une porte s’était ouverte, un agent vint lui dire quelque chose à l’oreille. -Ok, on va vous faire patienter un instant. On me conduisit dans une pièce blanche aux murs tagués, j’étais en slip, j’étais honteux, et j’avais froid. Des voitures aux gyrophares et sirènes hurlantes s’éloignèrent. J’entendis des voix. Une histoire de fusillade, toutes les unités étaient demandées et d’autres personnes arrêtées pour vols de matériels de chantier qu’il fallait aussi faire attendre. J’ai eu beau essayé de protester mais dans l’affolement général je me retrouvais enfermer dans une cellule avec les hommes qui m’avaient agressé une heure auparavant. Dans le commissariat pratiquement désert ils se servirent de mon corps. Le chef de la bande c’était Mourad et le mieux doté, il prit possession de mon cul sans retenu. Insitant les autres à faire de même. Khaled glissa dans mon oreille « Nos meufs sont au bled alors on va se soulager sur toi, c’est comme ça que ça se passe ! » Je n’arrivais plus à respirer, soudain la bouche haletante cherchant de l’air, Khaled en profita pour y glisser sa bite épaisse sous les encouragements du troisième garçon qui ne parlait pas français mais qui visiblement attendait l’autorisation de perdre une autre virginité, il était prêt à nouveau à pénétrer un corps par un orifice qu’il convoitait en se masturbant. Lorsque Mourad se retira je sentis un grand vide, et les deux amis acclamèrent en arabe le plus jeune lorsque sa bite me pénétra. Je reçu des claques qui laissaient des marques rouges pour que je montre de l’enthousiasme, comme une vraie Quhba. Khaled pris mes cheveux et redressa mon visage face au gland luisant de Mourad. Au bout de quelques secondes un liquide chaud, doré jaillit de ce phallus qui pointait dans ma direction et vint percuter mon front, mon nez pour finalement atterrir sur ma bouche. Mes cris ne faisaient que laisser entrer son urine au fond de ma gorge. Le râle profond et grave de Mourad pris fin lorsque la dernière goutte de pisse atterrit dans ma bouche ouverte et offerte. Un autre liquide chaud s’écoula enfin dans mon cul accompagné par un cri qui ne nécessitait pas non plus de traduction. C’est ainsi, souillé de tous côtés que le policier qui avait, à la suite d’une situation d’urgence, placé une victime de ses bourreaux, me trouva. Je bus difficilement le gobelet d’eau qu’il m’avait tendu. J’étais nu face à lui et en érection. Je n’avais pas à calmer mon excitation. Il porta sur moi un jugement sévère. Il déchira ma déclaration et j’ouvris machinalement la bouche face à la bite énorme et légèrement courbée vers le haut qu’il présenta devant moi. J’empoignait enfin ma queue raide et douloureuse et mon sperme gicla que mon torse qui se mêla à tous les autres fluides de la soirée. Sauf son sperme à lui qui coula en moi, sans même l’effort d’avaler, comme si la puissance du jet l’avait envoyé directement au plus profond de moi. Il parla en arabe. Je crus comprendre qu’il me demandait de faire ce qu’il exigerait de moi. Une paire de menottes brillante, au doux tintement dans sa main. J’apprendrai que dans le jargon qu’on les appelle les bracelets. A genou devant lui je lui tendis mes poignées. Je ressortis du commissariat 3 jours plus tard. Mais c’est une autre histoire.