Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Ca caille les rats 1
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Voici une histoire vécue, mais j'en ai connu d'autres !!!! Si çà vous dit, j'en écrirais de nouvelles.J'habitais alors dans une résidence pour étudiants. Dans mon couloir, il y avait 6 portes de chambres, dont la mienne. Je connaissais à peine mes voisins que je croisais seulement de temps en temps, au hasard. Les chambres étaient petites, toutes sur le même modèle et les étudiants, pour la plupart des jeunes mecs, avaient pris l'habitude de laisser, la nuit, leurs chaussures dans le couloir, près de leur porte, sans doute pour éviter des odeurs trop fortes dans le petit espace qui nous servait de lieu de vie.


J'avais repéré qu'une des chambres était occupée par un jeune beur d'une vingtaine d'années, très mignon. Il devait être environ de ma taille, 1m78 et pesait dans les 68 kilos. J'ai su plus tard qu'il avait 21 ans et qu'il était marocain. Il était habillé souvent de survets mais aussi de jeans, mais toujours en baskets. Il semblait faire un peu de footing car de temps en temps, l'été, je le voyais sortir en short. Ses vêtements semblaient cacher des muscles bien dessinés sous une peau caramel. Nous n'avions jamais échangé que des bonjours ou bonsoirs.


Moi qui kiffe les mecs, en particulier les beurs et lascards, et notamment les mecs en skets, je n'ai pas pu m'empêcher, une nuit, sans faire de bruit, de sortir dans le couloir, de m'approcher de sa porte et de prendre dans ma main une de ses baskets. J'étais bien excité de toucher la sket de ce mec ; j'avais très envie de savoir l'odeur qui se dégageait de ses groles qu'il semblait ne quitter que la nuit. J'ai donc approché la sket de mon nez ; ouaouh, ça ne puait pas vraiment, mais çà dégageait une vraie odeur de mec, sueur et renfermé. Je cherchais à renifler de plus près possible, allant avec mon nez le plus loin possible à l'intérieur de ses skets qui commençaient d'ailleurs à êtres bien usés et dont la semelle intérieure présentait quelques trous.


Et d'un coup, la porte s'ouvre et Hafid (j'ai su son prénom plus tard) apparaît. Il est étonné, me dit qu'il a entendu du bruit mais je lui explique que, en passant dans le couloir, j'ai buté sur ses chaussures et que je m'apprêtais à les remettrent en place. Il a paru me croire et est rentré dans sa chambre. J'avais eu la plus grande peur de ma vie, mais j'avais l'odeur des pieds d'Hafid dans ma tête et, moi aussi, je suis revenu vers ma chambre pour me masturber en rêvant à ces pieds que j'aimerais lécher et sucer. Quinze jours après, j'étais tranquillement dans ma chambre en train de travailler quand on frappe. Je vais ouvrir, c'était Hafid qui vient, dit-il, me demander un service. Il devait se rendre chez des copains a lui, en ville, qui vivaient à trois dans un appartement et, comme il pleuvait très fort et qu'il savait que j'avais une voiture, pourrie mais qui roulait encore, il me demandait de l'amener là-bas, que ce serait très rapide. Je me suis dit que je lui devais bien çà et, en plus, on ne sait jamais, si on pouvait devenir amis !


Il était 21h30 quand nous sommes arrivés en bas de l'appartement de ses copains. C'était dans un coin un peu glauque et j'étais plutôt content de ne pas être seul. Au deuxième étage, Hafid sonne à une porte et un mec vient ouvrir ; de style zonard, cheveux ras et jeans douteux, mais plutôt beau mec. Je saurais son prénom plus tard : Frank. Je regarde toujours les groles chez les mecs et, là encore, des vieilles Nique presque totalement flinguées, qui m'ont fait envie ! J'ai trouvé un peu bizarre que le mec referme à clé derrière nous, je me suis dit que c'était à cause du quartier. Dans la grande pièce, deux autres mecs, comme me l'avait annoncé Hafid. Un très grand black mince sous une djellaba tachée et pieds nus dans des tongs, il s'appelle Lamine, et un beur aussi mignon que Hafid, Rachid, lui en survets, tee shirt et casquette, mais pas trop sympa. Lamine se lève et nous propose un thé que j'ai accepte tandis que


Hafid va dire deux mots en secret à Rachid puis revient s'asseoir sur la banquette, à côté de moi ; il me regarde et me parle toujours avec le sourire " Alors, elles sentaient bon, mes skets, l'autre soir ? Je te voyais à travers le judas, je t'ai bien eu !". Il savait donc, ça ne servait à rien de nier. " Oui, j'avais trop envie de me branler avec ton odeur, mais je n'ai rien fait d'autre " Les trois autres s'étaient rapprochés de nous et je me sentais entouré par ces quatre mecs sans savoir leur état d'esprit. Franck, assis en face de moi, c'est ensuite adressé à moi " C'est dégueulasse, c'est crade de sentir les skets des mecs, ça t'excite, toi ? " Devant mon assentiment, il lève ses jambes et me fout ses pieds sous ma figure. " Ben alors, tu vas m'enlever mes skets, tu as vu comme elles sont bien pourries et tu vas les sentir. On va tous te regarder pendant ce temps-là. Tu sais, je me prépare pour toi depuis déjà plusieurs jours " J'ai compris ce qu'il voulait dire quand j'ai retiré la première basket.


Une forte odeur de pied sale c'est échappée mais Frank c'est rapidement levé pour me fourrer sa grole juste sous le nez. " Alors, c'est assez crade pour toi, salope ? " Les trois autres riaient et je voyais aussi une apparaître sur la djellaba de Lamine, assis juste à côté de moi. Après, Frank m'a obligé à retirer l'autre et à lui enlever ses chaussettes. Des chaussettes qui avaient dû, un jour, être blanches. J'ai dû aussi les sentir, les lécher et les mettre dans ma bouche. Ensuite, ce sont les pieds de Frank que j'ai été invite à lécher, à sucer, surtout entre les doigts de pieds, là où l'absence de la vague laisse des traces noirâtres.


Même en aimant plutôt les pieds, j'étais éc'uré de devoir être avili à ce point. Les autres n'étaient pas inactifs. Rachid, sur un autre siège, avait sorti sa bite et se caressait en me regardant nettoyer les pieds sales de son copain. Dès que je me reculais, que je voulais échapper à l'odeur, au gout ! Lamine et Hafid, de chaque côté de moi, me forçaient à y retourner en m'appuyant sur la tête ou en me pinçant très fort les tétons à travers mon tee shirt. Au cours de la soirée, j'ai été obligé de sucer les chaussures des trois autres (même les tongs de Lamine) et de laver leurs chaussettes de ma salive en les gardant suffisamment dans la bouche. Pendant ce temps, ils m'avaient également obligé de me déshabiller ; j'étais nu, à quatre pattes par terre, le nez sur le sol, sur des chaussettes ou des pieds, le cul cambré vers le ciel.


Si je ne léchais pas assez, je recevais une énorme claque sur les fesses. Frank et Rachid étaient les plus rudes ; ils m'insultaient tout en se caressant ; quand je me relevais, je ne pouvais que voir ces quatre mecs qui se branlaient, me traitant de salope, de petasse. C'est Hafid qui, d'un coup de pied, a écarté les chaussettes que j'étais en train de sucer. Il a mis son visage tout près du mien, et m'a parlé doucement, comme à une petasse " Maintenant, on va te niquer, tu as compris, non ?! Reste comme as, le cul, en l'air, c'est bien !


C'est mon pote Rachid qui va commencer ; il a une bonne bite, plus longue que grosse et il va te la mettre tout de suite " En effet, Rachid c'est placé derrière moi et a présenté son gland sur mon anus. Après avoir mis une capote Il m'a mis qu'un peu de salive avant de pousser pour faire entrer son sexe. J'avais un peu mal, mais il c'en foutait, continuant de me donner des coups de boutoir pour que son mandrin c'enfonce. Pendant ce temps, Hafid c est mis de façon que sa bite soit au niveau de ma bouche et m'a encouragé à la prendre entre mes lèvres. Ils se sont tous succédé dans mes deux trous ; je ne vais pas tomber dans les clichés habituels mais ! Lamine m'a fait couler ; il est pourtant passé en dernier, j'avais donc le cul ouvert et visqueux, mais sa bite était tellement grosse et longue que j'ai cru en crever. Nous sommes rentrés à la résidence, Hafid et moi, vers 3 h du matin ; j'étais complètement cassé. Il m'a seulement dit, en me quittant devant sa chambre, qu'il allait encore m'utiliser, pour son plaisir et celui de ses potes, de multiples façons?.