Histoires de sexe

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TRAVELO MEGALO
Histoire gay publiée le 19/11/2023
Un truc de ouf cette histoire qui m’est arrivée. Je zonais de bar en bar à Panam au milieu de la night. J’avais canonné grave et je cherchais une proie pour me soulager comme si j’étais un fauve en chasse. Devant une station taxi, j’aperçois une meuf trop bonne qui attend en se gelant les miches, clair que j’irais bien lui réchauffer ! C’est de la balle atomique : un mètre quatre vingt facile, la pure ligne, jupe courte et talons hauts avec de long cheveux chatain, ma parole je suis tombé sur un top. Je m’approche d’elle et quand elle se retourne, elle me balance un sourire ultra-bright, elle est chaude la taspé ! Je commence à la tchatcher un peu et quand elle me répond, je capte qu’il y a un blèm. En regardant de plus près, la demoiselle a une pomme d’adam qui me prouve qu’on est bien tous les deux pareils malgré les apparences, avec une bonne paire de couilles dans le futal ! C’est pas un trav qui va effrayer Skaralaone ! T’as oublié les épisodes de mes aventures au bois de Boulogne ou quoi ! Elle est chaude comme la braise et moi aussi et je lui fais comprendre qu’on a n’pas de temps à perdre. Je l’entraîne vers un porche mal éclairé dans une impasse et j’ai pas le temps de dire ouf que le travelo est à genoux devant oim. En vraie professionnelle, il/elle m’attaque une vraie pipe de l’enfer. Sa bouche maquillée glisse sur mon zboub comme si elle bouffait un Royal Cône et je trique comme un damné devant ses coups de langue baveux et experts. Je l’attrape par les cheveux et le lui pine la gueule en la traitant de taspé, de tepu et le trav en redemande. Il passe sa tête entre mes jambes et me gobe les couilles goulûment. Je sens sa peau qui me pique un peu. Eh ouais man, après une nuit blanche la barbe ça repousse ! Côté meuf je suis pas tellement branchée par les moustaches mais là … sa barbe d’un jour me donne des décharges électriques quand il se frotte mon gros gland circoncis autour des lèvres. Clair que j’allais pas m’arrêter là : entre l’ dans mes veines, la suceuse de ouf au bout de ma teub et l’ambiance sombre de ce porche en plein Panam, toutes les conditions sont réunies pour que je le baise comme un un bourin. Ca tombe bien il attend que ça ! Je retourne le trav contre le mur et je me plaque derrière lui. Il sait à quoi s’attendre et me tend une capote que j’enfile dard dard. Je commence à me frotter contre son boule et il me chauffe avec sa petite culotte en dentelle. Ma main gauche lui malaxe les eins pendant qu’avec la droite je poursuis mon exploration de son boule … pour arriver à une bonne teub bien raide et humide ! Je chope mon zob et je le place à l’entrée du trou : pah, pah, paaaah ! En trois coups de reins je lui défonce sa chatte de keumé, sans pitié. Ma grosse teub rentre sans trop de blèm, il a du en voir défiler des kilomètres de bites dans son trou ce travelo ! Le souffle court, je lui pilonne le derch comme une vraie kaaba et il pousse des petits cris de meufs affolées. Mon souffle rauque envoit de la buée qui monte vers les étoiles et moi je monte au septième ciel. Mon zeb s’acharne dans le boule bien lisse et cambré et le trav ondule en rythme pour que je m’enfonce un peu plus à chaque fois. Ca nique à tout va sous le porche de l’immeuble et on mériterait de se prendre un seau d’eau, les clebs niquent pas plus direct que nous ! Je sens mes boules bien pleines qui viennent claquer sur le petit cul ferme de mon trav et je lui colle mes doigts dans la bouche pour qu’il gueule moins fort. Cash le keumé se met à me lècher les doigts comme s’il taillait une pipe et ce petit vice me fait décoller vitesse grand V . Je sens mes couilles qui se plaquent et le jus qui monte à 200 à l’heure ! Je me retire vite fait et je vire la capote. Le morceau de latex a même pas le temps d’atterrir sur le sol qui je gicle un demi litre de sperme sur le boule du trav qui crache en même temps que oim sur la porte de l’immeuble . Après il a voulu qu’on aille avaler un dernier verre. Je me suis fait payé un skye que j’ai bu en deux deux avant de me tirer et de laisser ma Belle au Bois Bandant dans sa misère. Tu crois quoi, que j’allais écouter ses malheurs et ses speeds sur la vie toute la night ! T’es fou ou quoi, aussitôt vidé, aussitôt barré ! Mon nom c’est Skarlaone, pas Mireille Dumas !